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Nouvelle de 18 h

Rimouski engagée dans différentes procédures légales

Le terrain de Place Cooprix, toujours inoccupé. Un site pourtant très intéressant pour le développement économique qui demeure « gelé» en raison de ce litige qui aura trois ans en janvier. (Photo: journallesoir.ca, Pierre Michaud)

La Ville de Rimouski entreprend ou doit faire face à différentes procédures d’ordre légal par les temps qui courent.

Ce, tandis que le conflit avec Steckmar concernant le terrain de l’ancien centre commercial Cooprix fêtera son troisième anniversaire en janvier prochain. Steckmar veut l’annulation de la vente du terrain de 3,8 M$ à la Ville prétextant qu’on lui a caché qu’il y avait déjà eu un dépotoir à cet endroit. Ce terrain devait servir à bâtir un hôtel.

La Ville a mandaté un avocat pour défendre un autre dossier en Cour supérieure, lundi. « Il arrive régulièrement que la Ville de Rimouski doive aller en cour parce qu’elle est poursuivie ou parce qu’elle poursuit. Dans ce cas, on mandate une firme d’avocats pour aller défendre un dossier en Cour supérieure. Il s’agit d’un citoyen qui est d’opinion que la Ville n’a pas agi de façon appropriée dans un dossier », déclare le maire, Marc Parent.

Invité à préciser s’il s’agit d’une expropriation, il soutient que non.

Contrat résilié

La Ville va aussi mettre un terme à un contrat avec un fournisseur de services qui ne lui donne pas satisfaction. « C’est un contrat avec une entreprise qui offrait des services pour le programme d’aide aux employés et leurs familles (PAEF). Certaines problématiques ont été identifiées. Le contrat nous donne la possibilité de se retirer moyennant un pré-avis qui a été voté par le conseil ce soir. Nous allons opter pour un contrat offert dans le cadre des services de l’Union des municipalités du Québec (UMQ) », confirme le maire Parent.

Le nom de l’entreprise n’a pas été dévoilé. La décision a été prise sur une recommandation de la direction des ressources humaines.

Employé suspendu

Par ailleurs, les élus municipaux ont autorisé, lundi, la suspension d’un ou une employé€ de la Ville pendant six mois. Aucune précision additionnelle n’est disponible.

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