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100 000 $ en bourses grâce à la générosité d’un grand donateur

Bernard Pouliot (Photo: courtoisie)

La Fondation de l’UQAR vient de procéder à la remise de 70 000 $ en bourses à des finissantes et des finissants de l’UQAR grâce à la générosité du diplômé Bernard Pouliot. 

L’octroi de ces 35 bourses de 2 000 $ chacune a été effectué par le biais d’un tirage au sort parmi les finissantes et finissants du trimestre d’hiver.

Une contribution spécifique de 100 000 $ d’un diplômé en administration de 1974, Bernard Pouliot versée dans le cadre des festivités entourant le 50e anniversaire de l’UQAR permettra d’offrir un total de 50 bourses de 2 000 $ chacune.

« Je souhaite que ce don permette à des finissantes et à des finissants de poursuivre leurs ambitions et de se dépasser », souligne le mécène.

Générosité sans précédent

Diplômé de l’UQAR en administration (1974) et demeurant à Hong-Kong depuis plus de 35 ans, la générosité de Bernard Pouliot envers son alma mater est sans précédent, comme en témoigne la mise en place d’un fonds capitalisé dont la valeur dépasse aujourd’hui le million de dollars.

Le Fonds Bernard-Pouliot permet à la Fondation de remettre des bourses d’excellence en administration, de favoriser la mobilité étudiante et de soutenir le développement de projet en entrepreneuriat mis en place par les étudiantes et les étudiants de l’UQAR.

Comme le souligne Julie Pitre, directrice générale de la Fondation de l’UQAR, la générosité de Bernard Pouliot, se révèle inestimable en cette période d’incertitude liée à la pandémie.

Porteur d’espoir

« Nous adressons nos sincères remerciements à monsieur Pouliot pour ce geste porteur d’espoir qui témoigne avec éloquence, encore une fois, de son grand attachement envers son Université.  Ces bourses, versées dans le but de souligner le 50e anniversaire de l’UQAR, se révèlent être un soutien financier précieux pour les finissantes et les finissants qui peuvent vivre une période particulièrement difficile où l’embauche de nouvelles ressources n’est pas nécessairement à l‘agenda des employeurs à court terme », soutient-elle.

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