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Nouvelle de 17 h

Guy Dionne, le dernier Rimouskois a avoir occupé ce poste convoité

- Le futur DG de la 57e Finale connu jeudi
Guy Dionne, ex-Dg de la 36e Finale des Jeux du Québec tenue à Rimouski en 2001. (Photo journal le soir – René Alary)

Le nom du nouveau candidat retenu pour le poste convoité de directeur général de la 57e Finale des Jeux du Québec sera dévoilé le jeudi 25 juin au cours de l’après-midi. C’est à ce moment que le Conseil d’administration entérinera officiellement la sélection officielle. À cause de cette importante étape, ce nom est sous un embargo de confidentialité afin de compléter le processus selon les procédures habituelles d’embauche.

Guy Dionne symbole de nouvelle façon de penser

Le journal le soir a voulu en savoir un peu plus sur les qualités que devra avoir le nouveau DG en interrogeant la dernière personne à avoir occupé ce poste, Guy Dionne. Celui-ci était affecté à ce rôle lors de la 36e Finale présentée à Rimouski à l’hiver 2001. Déjà le président actuel de la 57e Finale, José Arsenault lui rendait récemment un hommage en qualifiant monsieur Dionne de précurseur dans le domaine des Jeux du Québec : « Il avait livré la marchandise comme nul autre DG avant lui dans l’histoire des jeux. C’est un tremplin, l’instigateur d’une façon de faire, car il a été le premier à parler d’en faire une réussite financière, ce qui fut le cas. Cela n’avait jamais été vu auparavant. Habituellement un déficit pour les jeux était prévisible de façon implicite et occasionnait des retombées économiques moins importantes pour les villes hôtesses », de déclarer monsieur Arsenault. On se souviendra, qu’en plus de la réussite organisationnelle, que la 36e Finale avait dégagé un surplus financier estimé à plus de 250 000 $ selon les tableaux que nous avons pu obtenir.

Plusieurs qualités requises

En ce qui concerne le principal intéressé, Guy Dionne, l’ex-DG des Jeux de 2001 faisant preuve de modestie y allait de cette analyse : « Je n’ai pas tout le mérite, à l’époque j’avais réuni toute une équipe et il faudra encore réussir de ce côté. La personne qui occupera ce poste en 2022 ou 2023 devra être capable de réunir plusieurs qualités sinon porter plusieurs chapeaux à la fois. Elle devra avoir une extrême capacité de mobilisation avec toutes les parties prenantes. Il faudra bien comprendre le communautaire, d’avoir une bonne relation avec les entités sportives tout en étant capable de bien mobiliser les acteurs économiques. Et il ne faut pas oublier cette capacité de travailler avec une grosse organisation. Pensons aux comités importants, tels que l’accréditation, le transport, l’hébergement pour ne nommer que ceux-là. Et que dire de la pandémie de la COVID-19 comme facteur inconnu. Je termine en mentionnant que le Conseil d’administration devra être solide et compétent et que le DG et le président ne doivent faire qu’un afin que la machine soit bien huilée. Cette chimie est essentielle », a-t-il conclu.

Émilie St-Pierre, candidate pressentie

Si on ne peut connaître l’identité de la personne retenue avant jeudi, le journal le soir a appris que la candidature d’Émilie Saint-Pierre, coordonnatrice de projets à la Ville de Rimouski n’avait pas été retenue. Celle qui avait fait un travail colossal et coordonné de main de maître la demande de mise en candidature de la Ville de Rimouski auprès de Sports Québec a déclaré le 19 juin dernier sur son compte Facebook qu’elle souhaitait mener ce beau projet jusqu’à sa réussite, mais qu’elle était arrivée 2e dans cette course. Reste à savoir si madame Saint-Pierre acceptera l’un des quatre postes de directeurs généraux adjoints disponibles dans l’organigramme selon le cahier de charge (Code de candidature). L’annonce tant attendue pour le poste de directeur général est prévue ce jeudi après-midi.

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