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Économie - Emploi

Miralis investit dans la relève

Sur la photo, dans l’ordre habituel, Jérôme Gagné, directeur adjoint au Centre de formation professionnelle de Rimouski-Neigette, Normand Dumont, enseignant en ébénisterie, Geneviève DeRoy, directrice adjointe au Centre de formation professionnelle de Rimouski-Neigette, Harold Bélanger, copropriétaire de Miralis, Julie Desrosiers, coordonnatrice au capital humain de Miralis, Berthier Dubé, enseignant et chef du Département d’ébénisterie et Catherine St-Pierre Fortin, enseignante au Département d’ébénisterie. (Photo: courtoisie)

Le Centre de formation professionnelle de Rimouski-Neigette se réjouit d’un partenariat  conclu avec la firme industrielle Miralis, une entreprise de Saint-Anaclet qui rayonne sur le plan international.

Les deux partenaires ont annoncé en conférence de presse aujourd’hui que les élèves du Programme d’ébénisterie ont l’occasion de travailler sur des équipements à la fine pointe de la technologie, entre autres grâce à la contribution de Miralis.

Le Centre de formation professionnelle a déposé une demande de financement en décembre 2020, dans le cadre du programme Évolution-Compétences – Volet partenariat pour la formation et l’innovation.

Partenariats

« Ce programme permet la création de partenariats entre les centres de services scolaires et d’autres organisations ou entreprises pour l’amélioration de l’offre de formation ministérielle des métiers désignés Sceau rouge. Le dépôt de projets vise à améliorer la qualité de la formation grâce à des investissements dans l’équipement ou à des approches novatrices de développement des compétences », précise le Centre de services scolaire des Phares.

Selon la Commission de la construction du Québec, le Programme des normes interprovinciales Sceau rouge a désigné une liste de métiers et occupations pour lesquels un travailleur peut obtenir cette mention reconnue dans toutes les provinces. On parle de métiers comme boulanger, calorifugeur, carreleur, ferblantier, électricien industriel, etc.

Volucadreuse

Dans le cas présent, le projet a permis l’acquisition d’une volucadereuse électromécanique, aussi appelée presse à caisson. C’est un appareil qui sert à réaliser un processus de serrage d’un meuble pré assemblé pour en optimiser le collage. La machine a été installée en janvier dernier, au coût de 52 700 $. On a annoncé aujourd’hui que Miralis a généreusement contribué à l’investissement pour une part de 5 000 $.

« Nous sommes donc en mesure d’enseigner les mêmes techniques qu’utilisées dans les entreprises. Ainsi, les élèves qui se retrouvent sur le marché du travail augmentent leur compétence et leur efficacité », confirme Berthier Dubé, enseignant au département d’ébénisterie.

L’appareil en question. (Photo: courtoisie)

Meilleur apprentissage

« Pour nous, c’était tout naturel d’investir dans l’achat de cette machine qui permettra de rehausser les apprentissages des élèves et contribuer au développement professionnel de la relève », confirme Harold Bélanger, copropriétaire de Miralis.

En vidéo ci-dessous, une démonstration du savoir-faire de Miralis.

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