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La Filiale 36 souffle 90 bougies

Le député Blanchette-Joncas souligne l'événement
Le député Maxime Blanchette-Joncas et des membres de la Filiale 36 Joseph Keable de la Légion royale canadienne. On reconnaît également le maire de Rimouski, Guy Caron, à gauche. (Photo: courtoisie)

Le député de Rimouski-Neigette–Témiscouata–Les Basques, Maxime Blanchette-Joncas, souligne les 90 années d’existence de la Filiale 36 Joseph-Keable de la Légion royale canadienne.

Basée à Rimouski, la Filiale 36 réunit les vétérans du Bas-Saint-Laurent et s’engage pour leur bien-être et celui de leur famille.

« La Filiale 36 Joseph-Keable de la Légion royale canadienne est un organisme important pour notre communauté et central dans la vie des vétérans bas-laurentiens et de leur famille. En plus de rendre des services essentiels à ses membres, elle joue un rôle de premier plan dans la promotion et la défense des droits des vétérans au sein de la société civile. Les 90 années d’existence de la filiale en disent long sur sa riche histoire dans la région ainsi que sur son engagement continu envers nos vétérans », affirme Maxime Blanchette-Joncas.

Joseph Keable

Qui était Joseph Keable? Un soldat originaire de Saint-Moïse qui est mort au champ d’honneur lors de la Première Guerre mondiale, le 9 juin 1918. Il a été de plus un véritable héros de guerre, devenant le premier Canadien-français à recevoir la Croix de Victoria.

Dévouée

Pour Jean-Rock Lavoie, président de la Filiale : « Notre organisation est dévouée depuis presque qu’un siècle à l’aide aux vétérans que ce soit par de l’assistance financière ou par l’organisation d’événements sociaux ».

Le président de la Filiale 36 Joseph-Keable de la Légion royale canadienne, Jean-Rock Lavoie (Photo journallesoir.ca- Olivier Therriault)

« En ces temps où la paix mondiale ne peut plus être tenue pour acquise, il faut plus que jamais se souvenir de ces hommes et de ces femmes qui ont fait le sacrifice ultime pour qu’on puisse jouir d’un monde libre et en paix. Il faut aussi être présents pour ceux qui sont revenus chez nous, mais qui ont été à jamais transformés par ce qu’ils ont vécu. C’est la noble mission que s’est donnée la Légion en 1932, et qu’elle continue d’honorer aujourd’hui », conclut monsieur Blanchette-Joncas.

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