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Découvrir le Québec par l’UQAR

Quatre étudiants italiens à Rimouski dans le cadre d'un programme de mobilité
Amelie Guidetti et Teresa Oreglia entourées d’Ester Tancredi, de Filippo Debernardi et de Marta Alberico. (Photo courtoisie UQAR Stéphane Lizotte)

(Par l’Université du Québec à Rimouski) L’UQAR a accueilli à nouveau, au trimestre d’automne dernier, quatre étudiants de l’Université de la Vallée d’Aoste, en Italie, venus découvrir le Québec dans le cadre du programme de mobilité entre les deux institutions d’enseignement.

Un échange de quatre mois qui a permis à Marta Alberico, Filippo Debernardi, Amelie Guidetti, Teresa Oreglia et Ester Tancredi d’enrichir leur parcours universitaire.

Ils ont bénéficié du programme de mobilité pour effectuer une partie de leurs études à l’Université du Québec à Rimouski.

De retour en Italie, l’heure est maintenant au bilan pour ces étudiants qui ont fait le choix d’élargir leurs horizons et de franchir les 6000 kilomètres qui sépare leur pays de Rimouski.

Une université très organisée

Vivre une expérience d’études outre-mer était un rêve pour Marta Alberico, qui étudie en lettres.

« J’ai trouvé que l’UQAR est une université très organisée et attentive aux étudiants et au personnel. J’ai passé presque toutes les journées là, profitant pleinement de toutes les ressources disponibles, à partir de la ligue de volley-ball jusqu’à la luminothérapie à la bibliothèque. Même si les cours n’étaient pas complètement en ligne avec mon parcours universitaire en Italie, je les ai aimés. Cette expérience m’a permis d’apprendre beaucoup sur moi-même, sur les traditions et le style de vie du Québec et de la région, mais aussi sur la beauté des différences culturelles et du monde », explique madame Alberico.

(Photo courtoisie UQAR)

Pour Filippo Debernardi, cet échange à l’UQAR a été l’occasion d’aller voir ce qui se passe au-delà de l’Atlantique.

« J’ai saisi l’occasion, même si je n’avais jamais entendu parler de la ville de Rimouski. De retour chez moi en Italie et après quatre mois passés à l’UQAR, je suis vraiment heureux d’avoir effectué ce choix. Je trouve que la petite taille de l’université m’a donné la possibilité de rencontrer vraiment beaucoup de personnes ayant des cultures très différentes que la mienne, qui m’ont aidé à élargir mes horizons », mentionne l’étudiant en lettres.

À la hauteur des attentes

Cette expérience de mobilité internationale a aussi été à la hauteur des attentes d’Amelie Guidetti, qui étudie en sciences de l’éducation.

« J’ai connu des personnes fantastiques, surtout des étudiants en échange, et j’ai pu suivre des cours très différents par rapport à chez moi. Les sujets étaient à peu près les mêmes, mais abordés avec une méthode plus pratique et moins magistrale. Cette méthode a été utile pour découvrir ce que les enfants vivent pendant leur cours et pour nous amuser aussi », indique madame Guidetti.

Étudiante en lettres, Ester Tancredi trace un bilan positif de ses quatre mois passés à Rimouski.

L’Université du Québec à Rimouski. (Photo journallesoir.ca- Alexandre D’Astous)

« J’ai eu six mois avant de partir pour bien rêver de ce que je vivrais là-bas, mais honnêtement, la réalité a été meilleure que mes rêves. En premier lieu, habiter dans une résidence au campus m’a permis de vivre l’UQAR à 360°. À l’UQAR, les enseignants connaissent ton prénom et ton nom. Je peux affirmer avoir des amis qui viennent de partout sur la planète et que les avoir connus est un vrai cadeau que la vie m’a offert », soutient madame Tancredi.

Entente de partenariat

C’est en 2021 que l’UQAR et l’Université de la Vallée d’Aoste ont signé une entente de partenariat sur la mobilité étudiante.

Les étudiants des deux universités sont éligibles à un programme de bourses permettant de défrayer une partie des frais d’études.

 

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