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Les petits bonheurs de LouLou

Passion du fleuve, découverte façon escapade

À la découverte du Saint-Laurent dans « Les petits bonheurs de LouLou »
Photo courtoisie Facebook – Tourisme Bas-Saint-Laurent

Mon fleuve, l’eau, la force et le calme. Ce bleu qui se confond avec le ciel, qui, à chaque heure de la journée, nous épanoui par ses reflets de couleur, blanche, jaune, orange, rouge. Quel chance de vivre dans un lieu offrant ses magnifiques paysages d’eau!

Voici quelques lieux que je n’ai pas eu la chance de visiter et que je me promets de faire cet été. Et vous, est-ce que vous y êtes allés ?

Je cite l’une de nos collaboratrices en 2021, Marie-Pier Mercier, la Ville de Rimouski, Tourisme Rimouski et Tourisme Bas-Saint-Laurent comme sources de cette chronique.

Le brise-lames

Le brise-lames de la rivière Rimouski a été réaménagé en 2015, afin d’offrir un espace de détente en milieu urbain.

Le concept entourant le réaménagement du brise-lames s’est développé autour de l’importance de conserver l’image d’un quai, sa vocation première.

Le brise-lames à l’embouchure de la rivière Rimouski. (Photo courtoisie Ville de Rimouski)

Le mobilier implanté permet à de petits groupes de profiter de l’espace pour observer le paysage. De plus, des spectacles y sont parfois présentés.

Du bois, du béton et de la végétation ont été utilisés pour réaménager le brise-lames. C’est l’architecte André Nadeau, de la firme OPTION aménagement de Québec, qui a proposé des scénarios de réaménagement à la Ville de Rimouski.

Les sculptures de Marcel Gagnon

Je suis passée devant des centaines de fois, j’ai mangé au restaurant du Centre d’Art Marcel Gagnon, mais je ne suis jamais allée voir les statuts en béton qui s’anime au gré des marées.

Les 80 premières sculptures datent de 1986. Chaque oeuvre pèse 675 kilos. Elles font partie du paysage depuis ce jour.

Chaque sculpture représente la transformation de l’humain et l’évolution. (Photo courtoisie Facebook)

Phare du Pot a l’Eau-de-Vie

Les trois îles du petit archipel abritent d’importantes colonies d’oiseaux aquatiques.

C’est sur l’une d’entre elles, qu’on retrouve le phare du Pot, un bâtiment historique construit sur un minuscule promontoire, où il est possible de passer une nuitée dans l’esprit du siècle dernier.

(Photo courtoisie)

L’Île aux Lièvres

Avec ses 13 kilomètres de longueur, l’île aux Lièvres est imposante. Il y a des belvédères naturels, des grèves désertes bordées d’églantiers, la possibilité de surprendre un phoque sommeillant sur le haut de la plage…

À dix kilomètres au large de Rivière-du-Loup, c’est un des secrets les mieux gardés de l’estuaire ! Elle est accessible en 20 minutes à peine à bord d’un des bateaux. Forêts naines, escarpements, plages interminables, bois de grève, oui, beaucoup, beaucoup de rêves à faire (caméra indispensable) !

Silence, détente avec les dizaines de lièvres qui s’affairent dans les sous-bois à la tombée du jour…

(Photo courtoisie)

Quelques liens:

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