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Tout un départ pour « Le temps d’un été » au box-office

Il devance même « Mission Impossible : Bilan mortel, partie 1 » `à Rimouski
Une scène du film « Le temps d’un été » (Photo courtoisie Immina Films)

« Le temps d’un été » connait un excellent départ au box-office. Après seulement trois jours à l’affiche, l’oeuvre réalisée par Louise Archambault, tournée en grande partie à Sainte-Luce, cumule des recettes de plus de 255 000$. Il s’agit du meilleur démarrage de l’année pour un film québécois.

Le film est particulièrement populaire à Rimouski, où il devance même « Mission Impossible : Bilan mortel, partie 1 ».

« Nous sommes très fiers de distribuer ce magnifique film rassembleur empreint d’humanité et d’humour. L’engouement du public est là et les vacances ne font que commencer, alors nous sommes très confiants que le film continuera sur cette belle lancée », indique Patrick Roy, le président Immina Films, distributeur du long-métrage, dans un communiqué.

Après une grande première sur invitation à Rimouski, le 4 juillet dernier, « Le temps d’un été » reçoit des commentaires élogieux autant de la presse que du public depuis sa sortie dans les salles.

Le député de Matapédia-Matane, Pascal Bérubé, la scénariste Marie Vien, le comédien Sébastien Ricard, la mairesse de Sainte-Luce, Micheline Barriault, la réalisatrice Louise Archambault, le distributeur du film, Patrick Roy et la producteur Antonello Cozzolino, lors de la grande première à Sainte-Luce. (Photo journallesoir.ca- Alexandre D’Astous)

La comédie dramatique met en vedette Patrice Robitaille, Élise Guilbault, Gilbert Sicotte, Sébastien Ricard et Guy Nadon.

Propriété dans le Bas-du-Fleuve

Depuis plus de 25 ans, Marc Côté, aumônier de rue et curé de paroisse, vit avec les pauvres et les itinérants.

Aujourd’hui, Marc est un homme usé. Épuisé de tenir à bout de bras son église qui sert de refuge, stressé par les comptes qu’il n’arrive plus à payer, Marc doit se rendre à l’évidence : il devra fermer son église.

Une scène du film « Le temps d’un été » (Photo courtoisie Immina Films)

Comme un appel de la Providence, il hérite d’une propriété dans le Bas-du-Fleuve et décide d’y emmener avec lui une bande de sans-abri qui, tout comme lui, ont besoin de vacances.

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