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Le Bas-Saint-Laurent s’enrichit de quatre territoires protégés

« C’est un grand jour pour le CREBSL »
Le territoire de la Réserve faunique Duchénier dispose notamment de la plus grande concentration de lacs au Sud du Fleuve Saint-Laurent. (Photo SNAP Québec)

Le Conseil régional de l’environnement du Bas-Saint-Laurent (CREBSL) est au 7e ciel, la réserve de Duchénier, le Lac de l’Est, et les rivières Causapscal et Cascapédia, s’ajoutent au réseau des aires protégées du Bas-Saint-Laurent.

« C’est un grand jour pour le CREBSL. Cette mise en réserve assure la protection de ces territoires. Avec cet ajout, le réseau d’aires protégées bas-laurentien comprend maintenant les sept territoires d’intérêt pour la création d’aires protégées qui ont fait l’objet d’un consensus régional en 2013 », indique un communiqué de l’organisme.

Le CREBSL précise que les autres territoires sont les Chic-Chocs, la rivière Assemetquagan et la rivière Patapédia, protégés depuis décembre 2020.

Le ministre de l’Environnement, de la Lutte aux changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP), Benoît Charette, a exprimé sa joie que Québec complète ainsi la protection des « Sept merveilles du Bas-Saint-Laurent ».

10 ans de travail

Le CREBSL célèbre cette annonce, confirmée par la ministre de l’Environnement, de la Lutte aux changements climatiques, de la Faune et des Parcs, Benoît Charette Québec. Il travaille depuis plus d’une décennie dans cette démarche avec se nombreux partenaires locaux, régionaux et nationaux.

La magnifique rivière Cascapédia fait maintenant partie des sept territoires d’intérêt pour la création d’aires protégées qui ont fait l’objet d’un consensus régional en 2013. (Photo SNAP Québec)

« L’organisation poursuit le travail afin que ces territoires bénéficient d’un statut de protection permanent. En plus de protéger des écosystèmes exceptionnels, un tel réseau d’aires protégées accroît l’attractivité de la région », affirme, dans le même communiqué, le directeur général du CREBSL, Patrick Morin.

D’autres étapes sont encore à franchir, dont des d’ateliers régionaux, pour consolider le réseau d’aires protégées du Bas-Saint-Laurent.

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