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Ghislain Larocque : dossier reporté en matière de stupéfiants

L'homme de 52 ans de Paspébiac a été arrêté le 7 juin dernier
Le palais de justice de New Carlisle (Photo journallesoir.ca- Alexandre D’Astous)

Ghislain Larocque, 52 ans de Paspébiac, arrêté le 7 juin dernier lors d’une opération de lutte au trafic de stupéfiants, était de retour en Cour lundi au palais de justice de New Carlisle pour donner une orientation à ses dossiers par l’enregistrement d’un plaidoyer, mais les dossiers ont été reportés au 2 octobre à la même étape.

Le 27 juin, le juge a ordonné la détention de l’accusé pendant le processus judiciaire au terme de son enquête sur remise en liberté. Rappelons que la détention préventive purgée avant l’imposition d’une sentence compte à 1,5 jour par jour purgé.

L’accusé a comparu une première fois le 8 juin afin de répondre à des accusations de trafic de stupéfiants, possession en vue de trafic de cocaïne et possession en vue de trafic de méthamphétamine.

Les enquêteurs de la division des enquêtes sur les crimes majeurs de la Sûreté du Québec, en collaboration avec les policiers en provenance de différents postes MRC de la région, ont effectué le 7 juin dernier, deux perquisitions et une arrestation en lien avec le trafic de stupéfiants à New Richmond.

Interception d’un véhicule

L’opération a débuté par l’interception d’un véhicule qui arrivait de l’extérieur de la région à bord duquel les policiers ont découvert une quantité importante de stupéfiants.

Le conducteur du véhicule a alors été arrêté par les policiers, une perquisition s’en est suivi à son domicile de la rue Duguay à Paspébiac où les policiers ont découvert d’autres stupéfiants.

(Photo courtoisie Sûreté du Québec)

En tout lors de cette opération, les policiers ont saisi environ 2 836 comprimés de méthamphétamine, un certain montant d’argent en devises canadiennes, plusieurs objets servant au trafic de stupéfiants et un véhicule en tant que bien infractionnel.

« Cette enquête a débuté il y a quelques semaines à la suite d’informations reçues du public », soulignait l’ex-porte-parole de la SQ, Claude Doiron, au moment de l’arrestation.

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