Actualités > Éducation > Savoir Affaires : une compétition d’envergure à Rimouski
Éducation

Savoir Affaires : une compétition d’envergure à Rimouski

L'événement aura lieu du 5 au 10 mai 2024 à l'UQAR
Le recteur de l’UQAR, François Deschênes, en compagnie de la directrice de la Direction du soutien aux études et des bibliothèques de l’Université du Québec, Caroline Lessard, de la directrice générale de Technopole maritime du Québec, Marina Soubirou, et du représentant du Réseau Québec maritime et codirecteur de l’Institut France-Québec Maritime, le professeur Dominique Robert. (Photo courtoisie)

L’Université du Québec à Rimouski (UQAR), l’Université du Québec (UQ), Technopole maritime du Québec (TMQ), le Réseau Québec maritime (RQM) et l’Institut France-Québec Maritime (IFQM) lancent la 9e présentation de l’initiative Savoir Affaires.

L’événement aura lieu du 5 au 10 mai 2024 au campus de l’UQAR à Rimouski sous le thème « L’innovation au cœur du maritime ».

Pour la toute première fois de son histoire, Savoir Affaires met à l’honneur tout un secteur d’activité, soit celui du maritime québécois. Par ailleurs, cette 9e édition aura une portée panquébécoise à laquelle s’ajoutera un volet international France-Québec. 

Visant à tirer profit du savoir pour innover en affaires, cette édition maritime rassemblera une cinquantaine de personnes étudiantes aux cycles supérieurs et au postdoctorat en provenance des 18 universités québécoises, d’universités françaises et antillaises ainsi que de quelques collèges en lien avec le maritime.

Jumelés à des gens d’affaires

Accompagnés par des spécialistes du maritime, en développement économique et en entrepreneuriat, les étudiantes et étudiants seront jumelés à des gens d’affaires et de l’industrie maritime du Québec et de la France.

(Photo UQAR)

« Les enjeux du secteur maritime sont au cœur des préoccupations de notre université depuis sa création. Savoir Affaires permettra aux étudiantes et aux étudiants de faire preuve d’originalité et d’innovation et de lancer des idées pour faire face à ces enjeux et contribuer par la même occasion à la vitalité des régions desservies par l’UQAR et du Québec », indique le recteur de l’Université du Québec à Rimouski, – François Deschênes.

Dans le cadre de cette compétition entrepreneuriale d’une semaine, ils devront imaginer en équipe des projets d’entreprises technologiques ou sociales, responsables et durables, autour de thématiques identifiées comme prioritaires et à fort potentiel pour le secteur maritime, soit :  

  • Bioressources et biotechnologies (6 mai 2024)
  • Technologies océaniques (7 mai 2024)
  • Changements climatiques et l’environnement (8 mai 2024)
  • Transport et les zones industrialo-portuaires (9 mai 2024)

Réseautage

Plusieurs activités de réseautage sont aussi prévues tout au long de la semaine, en plus des sessions de travail en équipe.

« Active depuis plus de 10 ans, Savoir Affaires a permis de créer 258 occasions d’affaires originales ainsi que plus de 200 emplois dans les régions du Québec visitées. L’UQ est heureuse de pouvoir innover avec ses partenaires du secteur maritime en proposant une formule renouvelée qui élargira considérablement la portée de l’initiative, au-delà de son réseau », explique la directrice de la Direction du soutien aux études et des bibliothèques à l’Université du Québec, Caroline Lessard.

(Photo courtoisie Société portuaire du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie)

À l’issue de cette édition qui rassemblera près de 200 personnes, une trentaine de projets d’affaires novateurs seront imaginés. Les six projets les plus prometteurs selon un comité de jury seront récompensés.

La période de recrutement est officiellement lancée. Les personnes étudiantes et les gens d’affaires qui souhaitent participer peuvent s’inscrire dès maintenant :

« Cette édition sera pour la toute première fois sectorielle et panquébécoise. Elle contribuera assurément au renforcement des collaborations ici au Québec et avec la France et facilitera le maillage entre une relève hautement qualifiée et les acteurs et actrices du secteur maritime », estime le codirecteur de l’Institut France-Québec Maritime et représentant du Réseau Québec maritime, Dominique Robert.

Facebook Twitter Reddit