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Institut maritime : ententes signées en France et en Belgique

Mission économique France/Belgique
(Photo courtoisie IMQ)

Bilan exceptionnel pour l’Institut maritime du Québec (IMQ) à Rimouski lors d’une mission économique France/Belgique, organisée par Les Armateurs du Bas-Saint-Laurent. Sa direction en a profité pour rencontrer des acteurs clés de l’industrie maritime et signer de nouvelles ententes de collaboration avec des établissements de formation en Europe.

Durant leur périple, les représentantes de l’IMQ, la directrice Mélanie Leblanc, la directrice adjointe au Service de l’enseignement régulier, Imane Benhayoune et la directrice responsable de la Formation continue du secteur maritime, Julie Gasse, ont notamment discuté avec des représentants de l’ambassade du Canada à Paris et de la Commission européenne à Bruxelles.

Les échanges ont permis la signature d’une nouvelle convention de coopération avec le lycée Maximilien de Sully à Marseille. De plus, en marge des activités officielles de la mission, un arrêt à Saint-Malo a permis la concrétisation du partenariat amorcé avec l’École nationale supérieure maritime (ENSM), ainsi que l’établissement d’une volonté de collaboration avec le regroupement des lycées maritimes de France.

Cela ouvre ainsi de nouvelles perspectives pour le partage de formations, le développement d’un projet de mobilité pour les élèves de l’IMQ, le recrutement d’étudiants internationaux et l’innovation dans le secteur maritime.

Mesurer l’IMQ aux acteurs européens

« Nous revenons enthousiastes de cette mission, qui nous a permis de consolider les actions de collaboration initiées depuis la signature d’une convention de partenariat à l’automne 2019 avec l’ENSM. Ses retombées incluent le partage des bonnes pratiques entre nos équipes, l’établissement d’un programme d’échanges pour les étudiants et l’accroissement de la visibilité de nos programmes, offrant ainsi de nouvelles perspectives de recrutement », explique madame Leblanc.

Une partie des membres participant à la mission, dont les représentantes de l’Institut maritime du Québec. (Photo courtoisie)

De plus, cette mission a offert l’opportunité de mesurer l’IMQ à d’importants acteurs européens dans le domaine de la formation maritime, confirmant la validité de ses pratiques, la qualité de ses formations et services ainsi que la pertinence de ses laboratoires et équipements.

« Nous sommes fiers de notre École nationale et de sa contribution à la formation de la relève de notre industrie », affirme Mélanie Leblanc.

Pour le volet de la formation continue, il s’agissait de valider l’évolution de la formation destinée à la main-d’oeuvre et à l’industrie, notamment en lien avec les actions de décarbonation, l’utilisation des nouveaux carburants et les modèles de formation destinés aux adultes.

Partager les réalités

« Le monde maritime se transforme et les enjeux à résoudre se diversifient. La formation joue un rôle déterminant dans ce contexte évolutif et il est crucial de partager nos réalités avec nos homologues belges et français », souligne Julie Gasse, directrice responsable de la Formation continue du secteur maritime.

L’Institut maritime du Québec (Photo journallesoir.ca- Véronique Bossé)

Les Armateurs du Bas-Saint-Laurent représentent 13 propriétaires et opérateurs de navires domestiques, qui transportent des marchandises et des passagers sur les eaux du Saint-Laurent, mais également sur les Grands Lacs, dans l’Arctique et dans les provinces maritimes.

L’association assure une présence continue auprès des autorités gouvernementales de tous les niveaux, des élus et d’autres parties prenantes afin de représenter les intérêts de nos membres

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