Festival country western de Saint-Gabriel : départ d’Olivan Fortin

Le président-fondateur du Festival country western de Saint-Gabriel, Olivan Fortin, tire sa révérence. Après 12 ans à sa tête, de 2002 à 2005 et de 2016 à 2024, il a récemment cédé sa place à Louis-Georges Lévesque, fort satisfait du travail accompli pour consolider la présence et la notoriété de l’événement.

S’il avait d’abord annoncé son départ en janvier, monsieur Fortin a été convaincu par certains membres du conseil d’administration de demeurer en place en vue de la 22e présentation du Festival country western, prévue du 5 au 11 août.

Or, il a finalement maintenu sa décision, effective depuis avril dernier.

« Je suis heureux d’avoir contribuer aux succès d’un festival de toute une région, dans le coeur des citoyens de Saint-Gabriel et de La Mitis. Il y avait beaucoup d’incertitudes quand nous l’avons relancé, en 2016 (après un an d’absence), mais nous avons su proposer des programmation diversifiées et à des prix plus abordables pour les familles. C’est tout un travail d’équipe qui a été réalisé. C’est ma plus grande fierté », estime Olivan Fortin.

Après avoir participé à création en 2002 et à sa renaissance en 2016, il laisse le Festival country western entre bonnes mains.

Près de 25 000 personnes de partout au Québec et de l’Est du Canada se déplacent dorénavant, à Saint-Gabriel, afin de participer aux différentes activités.

Des retombées de 2 M $

Que ce soit pour les spectacles musicaux, les compétitions équestres, le rodéo, le défilé au coeur de la municipalité ou la place famille, monsieur Fortin évalue leurs retombées économiques entre 1,5 M $ et 2 M $.

Plus de 200 bénévoles contribuent au succès du Festival country western de Saint-Gabriel, année après année.

« Je remercie tous les membres des conseils d’administrateurs, nos partenaires, commanditaires et bénévoles. C’est toute une communauté qui se rassemble et qui travaille dans le même sens. Je souhaite bonne chance à Louis-Georges (Lévesque) et à toute son équipe. Ils sauront poursuivent le travail accompli », indique Olivan Fortin.