La tape dans le dos du ministre Pierre Fitzgibbon

La Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette a convié les finalistes et les partenaires du 38e Gala Reconnaissance à un souper à La Réserve Bistro, dimanche dernier, en compagnie du président d’honneur de l’événement, le ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, Pierre Fitzgibbon et notre députée-ministre de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina.

Le Journal Le Soir.ca, présentateur d’un prix lors du gala, a profité d’une rencontre avec ces personnalités politiques.

« Quel est ce média? », s’est questionné monsieur Fitzgibbon, en tête-à-tête à notre table en compagnie de plusieurs invités, dont notre éditeur, Olivier Therriault et moi-même. Le Journal Le Soir.ca est une plateforme de nouvelles 100 % numérique. Elle couvre l’actualité régionale sept jours sur sept.

C’est une équipe de journalistes chevronnés qui rapporte l’information de façon pertinente, claire et fiable. Le ministre a immédiatement sortie son téléphone intelligent pour se diriger vers notre site Internet.

Le Journal Le Soir.ca rejoint une moyenne de 150 000 lecteurs uniques par mois avec un demi-million de pages vues générées par ses 336 articles.

Intérêt marqué

Puisque Pierre Fitzgibbon a siégé sur le conseil d’administration de Transcontinental, excellent groupe de presse, où le développement du personnel est très important, il a démontré un intérêt marqué pour notre développement et notre capacité à couvrir tous les sujets d’actualité, digne des grands médias nationaux à une échelle locale.

Quel est votre plan d’affaires? Comment voyez-vous votre entreprise d’ici cinq ans? Quelle est votre structure pour avoir un produit média de cette qualité? Comment avez-vous développé et intégré la technologie numérique alors que d’autres médias au Québec peinent à suivre la vague du virage technologique?

Monsieur Fitzgibbon nous a mentionné que nous devrions étaler notre expertise au Québec, l’offrir aux médias qui peinent à suivre la tangente.

En effet, nous souhaiterions le faire, avec le même enthousiasme et la même implication que nous l’avons fait au Bas-Saint-Laurent.

Mais j’ai manqué d’audace lors de ce souper. Je n’ai pas osé lui demander : monsieur Fitzgibbon, avec quels moyens financiers pourrions-nous y arriver?

Nous faire rêver

Je remercie le ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie pour son écoute. L’une des plus grandes qualités qu’un élu peut démontrer envers un chef d’entreprise est son intérêt sincère à sa cause et ses préoccupations. C’est le plus beau signe d’encouragement.

Lorsqu’une personne d’affaires d’expérience affirme que vous êtes sur la bonne voie, de ne pas abandonner et de foncer malgré toutes les embûches, il n’y a pas mieux comme tape dans le dos.

Au-delà de l’argent, des scandales politiques ou de la partisanerie, nos élus doivent avant tout nous faire rêver. À espérer mieux. À gravir les échelons. Une parole, une écoute attentive, une poignée de main et un sourire peuvent aussi faire toute la différence.

Merci Pierre Fitzgibbon!