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Achat du presbytère Saint-Germain : bientôt une annonce ?

« Nous sommes en train de ficeler des détails », indique le maire de Rimouski, Guy Caron
Le presbytère Saint-Germain (Photo courtoisie Simon Bélanger, courtier VIA Capitale)

Il n’y a toujours pas d’entente entre la Ville de Rimouski et la Fabrique Saint-Germain pour l’achat du presbytère de la Cathédrale, mais il semble qu’une annonce soit imminente, si l’on se fie aux propos du maire de Rimouski, Guy Caron.

« Nous sommes en train de ficeler des détails. Je n’ai rien à annoncer pour l’instant. Avec un peu de chance, nous aurons quelque chose à annoncer sous peu. Ça va se voir dans l’ordre du jour d’une séance ultérieure du conseil municipal, si on peut avoir une entente », a déclaré le maire Caron.

Cela fera bientôt quatre mois que la Ville a fait part de son intention d’acheter le presbytère au montant de 1 150 000$ afin de créer un véritable quartier culturel au centre-ville.

Cette annonce avait été faite le 12 février dernier en conférence de presse.

Projet de 10 à 15 M$ réalisé en deux phases

L’acquisition du bâtiment deviendrait la première étape d’un projet évalué entre 10 et 15 M$, réalisé en deux phases d’ici à 2028, comprenant le regroupement de nombreux organismes culturels sous un même toit dans un presbytère remis au goût du jour, le réaménagement d’une partie du Centre Culturel et la création d’un complexe en loisir culturel, dans l’actuel centre communautaire de Sainte-Agnès Sud.

Le maire de Rimouski, Guy Caron et la directrice du Service des loisirs, de la culture et de la vie communautaire, Karine Desrosiers. (Photo journallesoir.ca- Olivier Therriault)

Au lendemain de l’annonce de la Ville, le président de la Fabrique Saint-Germain, Jean-Paul Heppell, se réjouissait de l’intérêt de Rimouski. Il s’attendait à recevoir une offre d’achat formelle dans les deux semaines suivantes.

« C’est sûr que nous ne leur fermerons pas la porte, mais c’est difficile de commenter davantage tant que nous n’aurons pas l’offre en main. Il y a le montant, mais nous avions aussi des conditions. On ne sait pas encore si elles seront acceptées. Ça va dépendre de l’offre qu’ils vont faire », déclarait monsieur Heppell.

Parmi les conditions, la Fabrique souhaite pouvoir garder son bureau dans le presbytère.

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