Maritime : Rimouski toujours bien vue
Guy Caron en France pour maintenir les contacts et approfondir les relations
Par 23.10.2024 12:00
Malgré le refus du gouvernement du Québec de financer la zone d’économie bleue dans l’Est-du-Québec et la faillite de Novarium, le maire de Rimouski, Guy Caron, assure que sa ville jouit toujours d’une excellente réputation à l’international dans le domaine maritime.
Il a d’ailleurs été à même de la constater lors de son voyage de trois jours à Brest, en France, la semaine dernière.
Rimouski est jumelée à la ville française dans le cadre d’un partenariat économique géré par le ministère des Relations internationales et de la Francophonie.
« Nos organismes sont en lien les uns avec les autres. Notre technopole est jumelée avec celle de Brest, même chose pour nos universités et pour l’ISMER avec son équivalent à Brest. Nous avons des partenariats très vivants entre les deux villes », commente le maire Caron.
Semaine de la technologie maritime
Monsieur Caron s’est rendu à Brest dans le cadre de la Semaine de la technologie maritime qui regroupait des experts du domaine maritime de partout dans le monde.
« J’y allais pour représenter la Ville de Rimouski. J’ai eu des rencontres avec différents acteurs, dont l’institut France-Québec pour la coopération scientifique en appui au secteur maritime. J’ai eu plusieurs rencontres pendant les trois jours où j’étais présent. Rimouski a une très bonne réputation à travers le milieu maritime partout dans le monde. J’ai parlé avec des Irlandais qui connaissaient Rimouski à cause de l’Institut Maritime. C’est une façon pour nous de dire que nous sommes toujours présents et de continuer à réseauter pour exprimer l’importance du domaine maritime pour Rimouski », explique-t-il.
De fausses perceptions
Guy Caron mentionne que des gens ont la mauvaise perception que ces événements sont pour signer des contrats.
« Ce n’est pas cela. Généralement, lorsqu’on arrive à signer un contrat, c’est parce qu’il y a beaucoup de travail de connexion qui a été fait en amont. Il faut maintenir les contacts et approfondir les relations et c’est dans cet esprit-là que j’y suis allé », précise-t-il.
–