Katia Laflamme vivra le phénomène Taylor Swift

La journaliste de TVA Est-du-Québec, Katia Laflamme, vivra pleinement le phénomène Taylor Swift alors qu’elle assistera au spectacle de la chanteuse américaine, samedi soir à Toronto, avec une amie de Montréal et son ancienne collègue Alexandra Trudel, maintenant à Trois-Rivières.

« Ce sera un beau « trip » de filles. Avec ses « swifties », Taylor Swift est un phénomène social qui m’intrigue beaucoup comme journaliste. Nous allons pouvoir vivre pleinement l’expérience. Nous allons jouer le jeu jusqu’au bout avec les costumes et les bracelets à échanger », mentionne Katia en route vers Montréal.

Évidemment, on ne fait pas 24 heures de route pour aller voir un spectacle sans être une grande fan.

« C’est sûr que je suis fan. On va avoir droit à tout un spectacle. Elle sera sur scène pendant 3 h 30. Elle interprétera 44 ou 45 chansons ».

Phénomène générationnel

Pour Katia Laflamme, Taylor Swift est un phénomène générationnel.

« J’ai eu la chance d’assister au spectacle de New Kids on the Block à Montréal. Je ne pouvais pas ne pas aller à celui de Taylor Swift. J’avais une entente avec Alexandra. Si une de nous réussissait à avoir un code pour obtenir des billets, on irait ensemble. C’est elle qui a obtenu le code. Je me suis dépêché de réserver des jours de vacances. Il n’était pas question que je rate cela. J’adore ces chansons ».

Il n’y a pas eu de vente générale de billets. Ceux-ci étaient réservés aux « fans certifiés » qui ont obtenu un code d’accès pour pouvoir acheter leurs billets via Ticketmaster.

« Nous avons été chanceuses. Il y avait 250 000 codes disponibles et il y a eu plus de 30 millions de demandes », souligne-t-elle. En fait, seulement 2% des gens ayant demandé un code en ont reçu un.

250 $ par billet

Même si elle adore l’artiste, Katia Laflamme n’aurait pas débourser 10 000 $ pour voir son spectacle à Toronto.

« Je suis super contente. Nous avons payé 250$ par billet. Le phénomène social me fascine. J’ai hâte de voir ce qui va se passer à Toronto. Je me sens privilégié d’avoir la chance d’y aller. Je connais tellement de gens qui rêvaient d’y aller et qui n’ont pas eu l’opportunité d’avoir des billets. Même des gens disposant d’un code ne sont pas parvenus à avoir de billets. Le code donnait seulement un accès à Ticketmaster », souligne-t-elle.