Présence importante de chevreuils sur la 132 à Notre-Dame-des-Neiges
Ne pas les nourrir![](https://journallesoir.ca/wp-content/uploads/2025/02/Nourrir-chevreuil.jpg)
Trois cerfs de Virginie ont été retrouvés morts en début de la semaine, dans le secteur du Pont de la Rivière Trois-Pistoles à Notre-Dame-des-Neiges.
La Municipalité de Notre-Dame-des-Neiges rapporte qu’un chevreuil a été heurté entre les talus à l’Est de la rivière sur la route 132, alors qu’une autre carcasse a été retrouvée sur un terrain privé de la rue Lajoie. Une troisième bête a été heurtée sur la voie ferrée.
Une 4e bête a été frappée sur la 132, mardi matin, entre les talus à l’Est, endroit où visiblement les chevreuils traversent de façon régulière.
« Nous avons demandé l’installation de panneaux d’avertissement. Le tout est en traitement. Nous vous demandons d’être vigilants. La présence de pistes sur les talus de la rive Est prouve que le nombre de cerfs est très important et que leur passage y est fréquent », mentionne-t-on sur la page Facebook de la Municipalité.
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Route du Sault
Du côté municipal, des panneaux seront installés sur la route du Sault, car la présence de cerf y est également connue, bien que le chemin en question soit moins fréquenté.
La vigilance demeure de mise en tout temps dans le secteur du noyau villageois de Notre-Dame-des-Neiges, car on retrouve des ravages du côté nord de la 132 tout comme en en retrouve du côté sud, dans les boisés et sentiers.
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Ne pas les nourrir
Les événements survenus dans les derniers jours, bien qu’imprévisibles, peuvent être évités en partie.
« Bien entendu, la traverse de chevreuils de part et d’autre de la route 132, près du village est inévitable, puisque plusieurs ravages sont situés à proximité, notamment dans le secteur de la route du Sault et du boisé derrière La Riveraine et le boisé au nord de la voie ferrée.
Il n’est pas rare d’en croiser directement sur le chemin de fer ou même sur la rivière lorsqu’elle est glacée. Toutefois, nourrir les chevreuils les attire encore davantage et augmente le risque de collisions. Il s’agit là d’une aggravation qui peut être évité en cessant de nourrir les animaux », explique la Municipalité.
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