Duchénier : une réserve faunique qui ne cesse de se développer
Ernie Wells rencontre son directeur général, Maxime Gendron
Le grand déclubage de 1978 qui a redonné aux Québécois l’accès aux à leur sauvagerie, en résiliant les baux de 1 200 clubs privés de chasse et de pêche, a épargné une giboyeux territoire, celui de réserve faunique Duchénier.
Ce territoire, qui compte le plus grand nombre de plans d’eau au sud du Saint-Laurent, dont le grand Lac Touradi, a toujours résisté à une gestion publique, géré par la Corporation du territoire populaire Duchénier.
On l’associait au Village Gaulois d’Astérix qui résiste à l’envahisseur.
En 2000, Québec a reconnu le territoire de Duchénier, en lui donnant le statut de réserve faunique, à quelque 30 km au sud-ouest de Rimouski, sans pour autant rejoindre le réseau réserves fauniques de la SÉPAQ.
De Duchénier à TERFA
En entrevue à « Rendez-Vous Nature », le directeur général de la TERFA (acronyme de « Territoire d’expériences récréatives des forêts anciennes) qui regroupe deux voisins, la réserve faunique Duchénier et le Canyon des Portes de l’Enfer, relate l’historique de « Duchénier ».
Le développement de la réserve s’est accentué après un grand virage entrepris en 2018, grâce à une aide de 10 M$ de Québec.



Vingt-et-un chalets, issus des anciens clubs, ont pour la plupart été détruits et les sites reconstruits dans la modernité ds années 2000.
Aujourd’hui, on parle de 22 M$ investis au cours des dernières années.
Pour entendre une entrevue réalisée avec Maxime Gendron dans le cadre de l’émission « Rendez-Vous Nature », qui raconte Duchénier, son passé, son présent et son avenir, cliquez sur le lien ci-dessus.