Actualités > Duchénier : une réserve faunique qui ne cesse de se développer
Actualités

Duchénier : une réserve faunique qui ne cesse de se développer

Ernie Wells rencontre son directeur général, Maxime Gendron
Maxime Gendron, DG de la réserve Duchénier-Portes de l’Enfer (TERFA) ainsi qu’Alexis Nantal, « pro » du plein air, venu y découvrir de nouveaux sentiers de sports d’hivers dans le territoire de TERFA. (Photo courtoisie Philippe Guimond)

Le grand déclubage de 1978 qui a redonné aux Québécois l’accès aux à leur sauvagerie, en résiliant les baux de 1 200 clubs privés de chasse et de pêche, a épargné une giboyeux territoire, celui de réserve faunique Duchénier.

Ce territoire, qui compte le plus grand nombre de plans d’eau au sud du Saint-Laurent, dont le grand Lac Touradi, a toujours résisté à une gestion publique, géré par la Corporation du territoire populaire Duchénier.

On l’associait au Village Gaulois d’Astérix qui résiste à l’envahisseur.

En 2000, Québec a reconnu le territoire de Duchénier, en lui donnant le statut de réserve faunique, à quelque 30 km au sud-ouest de Rimouski, sans pour autant rejoindre le réseau réserves fauniques de la SÉPAQ.

De Duchénier à TERFA

En entrevue à « Rendez-Vous Nature », le directeur général de la TERFA (acronyme de « Territoire d’expériences récréatives des forêts anciennes) qui regroupe deux voisins, la réserve faunique Duchénier et le Canyon des Portes de l’Enfer, relate l’historique de « Duchénier ».

Le développement de la réserve s’est accentué après un grand virage entrepris en 2018, grâce à une aide de 10 M$ de Québec.

Le directeur Maxime Gendron précise que l’organisme fait la location de fatbike, fatbike électriques et vélo de montagne. (Photo Le Soir.ca- Alexandre D’Astous)
Le territoire de la réserve faunique Duchénier dispose notamment de la plus grande concentration de lacs au sud du fleuve Saint-Laurent. (Photo SNAP Québec)
La passerelle suspendue du Canyon des Portes de l’Enfer offre une expérience unique. (Photo courtoisie Jean-Frédéric Dubé)

Vingt-et-un chalets, issus des anciens clubs, ont pour la plupart été détruits et les sites reconstruits dans la modernité ds années 2000.

Aujourd’hui, on parle de 22 M$ investis au cours des dernières années.

Pour entendre une entrevue réalisée avec Maxime Gendron dans le cadre de l’émission « Rendez-Vous Nature », qui raconte Duchénier, son passé, son présent et son avenir, cliquez sur le lien ci-dessus.

Facebook Twitter Reddit