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Chasse et pêche

La chasse d’une vie pour Samuel Saint-Laurent

Tout un exploit réalisé en Nouvelle-Zélande
Samuel Saint-Laurent à gauche et son compagnon de chasse, Michael Gariepy, dans les montagnes abruptes de la Nouvelle-Zélande. (Photo courtoisie)

Tout chasseur rêve de découvrir des territoires lointains, des paysages exceptionnels, de cibler des gibiers plus exotiques, bref de vivre de nouvelles expériences et de vivre la chasse d’une vie. Samuel Saint-Laurent a réalisé son rêve, le printemps dernier, en Nouvelle-Zélande.

Le guide de chasse de SÉPAQ-Anticosti, territoire Chaloupe, n’en revient pas encore.

En entrevue à « Rendez-Vous Nature », Samuel Saint-Laurent dit avoir vécu une expédition de chasse de classe mondiale.

« Tout est différent en Nouvelle-Zélande, les paysages, les gibiers, les façons de chasser, les terrains de chasse. Mais d’abord, il faut s’y rendre. La Nouvelle-Zélande est à 20 000 km du Québec, soit 15 heures de vol, de Montréal à Vancouver puis jusqu’à Auckland et un autre vol d’une heure vers la pourvoirie South Pacific Safaris ».

Liens naturels avec Anticosti

Des liens naturels unissent Anticosti de la Nouvelle Zélande, où la majorité du gibier qu’on y chasse aujourd’hui a été introduit par les colons européens au XIXe siècle. 

Avant cela, les seuls mammifères présents étaient des chauves-souris…

Les espèces introduites comprennent des cerfs, ou cerf élaphewapitidaim, des chamois, des thars de l’Himalaya et du petit gibier comme des lapins, lièvres et wallabies, un genre un kangourou.

Mais plus petit que celui de l’Australie.

« Nous avons chassé les espèces mythiques de la Nouvelle-Zélande, le Red Stag, Fallow Deer, Tahr, Feral Goat, chèvre de montagne et le Arapawa Ram », précise Samuel à « Rendez-Vous Nature », une entrevue qu’on peut entendre en cliquant sur le lien ci-dessus.

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