Meilleurs parlementaires : Blanchette-Vézina et Bérubé nommés
Palmarès 2025 de La Presse
Les députés de Rimouski et de Matane-Matapédia, Maïté Blanchette-Vézina et Pascal Bérubé, ont été nommés parmi les meilleurs parlementaires de l’année selon leurs pairs.
Chaque année, La Presse transmet un questionnaire à l’ensemble des 125 députés de l’Assemblée nationale afin de désigner les meilleurs élus dans 10 catégories différentes dans un palmarès.
À la suite de la compilation des votes, madame Blanchette-Vézina a été sacrée députée incarnant le plus l’esprit transpartisan. Elle a aussi terminé troisième au scrutin de la meilleure parlementaire de l’année, derrière la ministre caquiste Christine Fréchette et la péquiste Catherine Gentilcore.
Cette dernière se dit la première surprise de cet honneur. En entrevue à La Presse, l’élue indépendante estime que ce résultat s’explique soit par son départ du caucus de la CAQ, soit par le fait que des députés toujours au sein du gouvernement partagent son point de vue.
Habitué aux honneurs
Un autre élu familier de ce palmarès est Pascal Bérubé. Le député de Matane–Matapédia a été désigné par ses pairs comme le meilleur représentant de sa circonscription.
Il termine d’ailleurs devant Maïté Blanchette-Vézina, qui se classe au deuxième rang à égalité avec le député de Beauce-Nord, Luc Provençal.

Pour monsieur Bérubé, qui n’en est pas à sa première reconnaissance, son ardeur à défendre ses dossiers explique ce résultat.
Il a toujours compris l’importance d’entretenir de bons liens avec les ministres susceptibles de faire avancer les enjeux de sa circonscription. Il n’a d’ailleurs jamais hésité à souligner la collaboration de ses collègues du gouvernement.
D’autres élus félicités
Parmi les autres parlementaires ayant reçu des éloges, mentionnons Catherine Gentilcore, députée péquiste de Terrebonne, le ministre du Travail Jean Boulet ainsi que la présidente du Conseil du trésor, France-Élaine Duranceau.
Au total, 101 des 125 parlementaires ont répondu au questionnaire de La Presse. Par souci d’équité, les députés étaient invités à voter pour un membre de leur formation politique, mais aussi pour un élu d’un autre parti dans chaque catégorie.

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