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Chasse et pêche

Les pourvoiries ont un besoin très urgent de main-d’œuvre

De nombreux emplois disponibles à l'aube de l'été
(Photo Pourvoiries du Québec)

Alors qu’ils poursuivent les préparatifs d’ouverture de leurs sites, plusieurs des 330 membres de la Fédération des pourvoiries du Québec (FPQ) peinent à combler les nombreux emplois disponibles.

Et le temps presse.  Au point que les besoins en main-d’œuvre sont criants, comme le soutient en entrevue à « Rendez-Vous Nature », la porte-parole de la FPQ », Josiane Lavallée.

 « En fait, ce n’est pas un nouveau défi. Les besoins en main-d’œuvre remontent à la pandémie. Pour nos besoins, les pourvoiries sont des entreprises super complètes. Du personnel à l’entretien ménager, aux gestionnaires de terrains, en passant par les cuisiniers, restauration, le personnel de l’accueil, les guides de chasse et de pêche, bref, les possibilités d’emplois sont variées et les journées, jamais routinières » soutient Josiane.

Réorienter sa carrière

Au cours des dernières années, on a assisté à un grand virage dans les pourvoiries qui se sont tournées vers la villégiature, et le plein air, autres que les traditionnelles activités de chasse et de pêche.

Ce qui a aussi amené les pourvoyeurs à créer de nouveaux postes et à faire appel à une nouvelle main d’œuvre spécialisée.

Ce peut être aussi une réorientation de carrière. Comme cet informaticien d’une firme reconnue, qui a 55 ans, a tout laissé derrière lui pour réaliser son rêve, guide de chasse.

Pour travailler en pourvoie, ce n’est pas juste aimer la chasse et la pêche.

Lors d’un récent « Salon de la chasse et de la faune sauvage » à Mantes-la-Jolie, en France, la porte-parole de la FPQ, Josiane Lavallée, a aussi fait de la représentation sur les nombreux emplois à combler dans la sauvagerie québécoise. José Boily, de « Québec à vol d’oiseau », représente nos pourvoiries sur le marché européen. (Photo courtoisie FPQ)

« Travailler en pleine nature, déconnecter et s’éloigner de la ville, passer du rêve à la réalité, côtoyer la nature sauvage au quotidien, à travers une faune et une flore exceptionnelle, contribuer à créer de souvenirs impérissables pour des clients heureux d’être en vacances, sont autant de raisons de travailler en pourvoirie », ajoute Josiane Lavallée.

Pour rejoindre les personnes intéressées à travailler en pourvoirie, la FPQ vient de lancer nouvelle image de marque dans sa stratégie d’attraction de main-d’œuvre, « Un emploi SURNATUREL ».

L’objectif est d’inciter le public à considérer les nombreuses possibilités d’emploi en pourvoirie. Tous les détails et les emplois offerts sur le site pourvoiries.com.

On peut entendre ou réentendre cette entrevue en cliquant sur le lien ci-dessus.

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