Deux absents de taille dans la brigade défensive de l’Océanic
Pas de Connor Sturgeon et de Jack Martin pour la visite de Gatineau, vendredi soir
L’Océanic devra se débrouiller sans les services de deux de ses quatre premiers défenseurs lors de la visite des Olympiques de Gatineau, vendredi soir, au Colisée Financière Sun Life.
Connor Sturgeon et Jack Martin manqueront à l’appel et on ne devrait pas voir, non plus, la recrue Maxwell Branton qui soigne une blessure mineure. Dans le cas des deux premiers, on parle d’absences « au jour le jour », même pour Sturgeon initialement annoncée pour au moins trois semaines.
William Lacelle aura le mandat de défendre le filet vendredi soir pendant que Mathis Langevin sera le gardien utilisé, dimanche après-midi, lors de la visite des Cataractes de Shawinigan.
Jeu de puissance
Dans sa rencontre avec les médias jeudi midi, Joël Perrault a répété que lui et ses adjoints mettent beaucoup l’emphase sur le jeu de puissance dans les entrainements.
« Le power play, ça va beaucoup avec la confiance. C’est important que les joueurs sentent qu’on est avec eux. Par contre, il y a une partie de la responsabilité qui revient aux joueurs, dans l’exécution et l’intensité qu’ils y mettent », explique l’entraineur-chef.
Son équipe est 18e et dernière dans l’efficacité en avantage numérique avec un faible 12,3 %. À titre comparatif, les Olympiques, les visiteurs vendredi, frappent pour 26,3 %, au quatrième rang.
« Je crois beaucoup à la façon dont on va récupérer les rondelles après un lancer où l’avoir envoyé dans le fond du territoire. Ça peut donner un deuxième ou une troisième chance. Ce qu’on faisait bien en début de saison, c’est qu’on gardait ça simple et on mettait des rondelles au filet. On travaille là-dessus. On a les effectifs pour réussir, c’est une question de confiance avec un peu plus d’acharnement dans la récupération des rondelles », poursuit-il.
60e sur 61 équipes
Parmi les 61 équipes de la Ligue canadienne de hockey (LCH), une seule, les Chiefs de Spokane, est moins efficace que l’Océanic sur le jeu de puissance avec un maigre 8% de réussite.
Par contre, les difficultés rencontrées n’empêchent pas l’Océanic de jouer pour une moyenne d’un peu plus de ,500 avec une récolte de 25 points en 23 parties (fiche de 12-10-0-1), au 6e rang de l’Association Est et au 11e du classement général.
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