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Manon Cambefort rejoint l’équipe de Maïté Blanchette-Vézina

À titre de conseillère politique et d'attachée de presse
Manon Cambefort (Photo courtoisie)

Manon Cambefort se joint à l’équipe de la députée indépendante de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina, à titre de conseillère politique et attachée de presse, tout en demeurant copropriétaire du Groupe ADEL et de l’abattoir de Luceville.

« Après plusieurs années consacrées pleinement au développement du Groupe ADEL et à la relance de l’abattoir de Luceville, dont je reste copropriétaire, j’ai choisi de relever un nouveau défi professionnel », indique madame Cambefort.

Madame Cambefort explique que l’expérience acquise pendant quatre ans dans le développement d’un projet structurant avec son équipe lui permet d’être profondément ancrée dans les réalités de la région.  

Un nouveau chapitre dans la continuité

« J’entame un nouveau chapitre professionnel dans la continuité de mes actions. J’ai choisi l’action politique parce que je souhaite continuer à faire bouger les choses pour nos régions, autrement, plus largement, et avec un impact direct sur les décisions qui façonnent notre avenir collectif. Travailler auprès d’une députée indépendante, c’est un choix parfaitement assumé. C’est adhérer à une vision transpartisane qui permet de collaborer avec tout le monde et d’accueillir toutes les idées, sans ligne de parti à suivre, afin de construire des solutions qui servent réellement le monde d’ici », déclare-t-elle.

Madame Cambefort souhaite mettre en valeur ce qui fait la force du Bas-Saint-Laurent : « nos terres, notre économie de proximité, les produits d’ici, notre capacité d’innover et notre détermination à bâtir des milieux de vie dynamiques ».

Indépendance politique

« Je suis convaincue que l’indépendance politique est un terrain fertile pour porter ces enjeux avec ouverture, rigueur et créativité. C’est donc avec beaucoup d’enthousiasme et le sens du devoir que j’entame ce nouveau chapitre. Mon fil conducteur demeure le même : contribuer concrètement au développement de notre région, avec conviction et avec cœur », affirme celle qui tient à préciser qu’elle demeure copropriétaire de l’abattoir de Luceville.

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