«En période historiquement trouble, j’ai tenu mes engagements!»
- Maxime Blanchette-JoncasQuand on analyse sa performance après une année fertile en rebondissements, le Bloc Québécois peut dire qu’il a pleinement relevé le défi dans la défense des intérêts des Québécoises et des Québécois. Il en va de même pour le député de Rimouski-Neigette – Témiscouata – Les Basques, Maxime Blanchette-Joncas.
La crise qui affecte la planète entière depuis le début 2020 a bouleversé profondément le travail et même le mandat des députés du Bloc. « Nous sommes plus que jamais très proches de nos concitoyens. À situation exceptionnelle, réponse exceptionnelle : avec mon équipe, j’ai entendu et résolu les inquiétudes de milliers d’entre eux et nous n’avons pas ménagé nos efforts pour les soutenir dans ces moments d’incertitude. »
Une soixantaine de compatriotes québécois ont pu être rapatriés de l’étranger, indique encore Maxime Blanchette-Joncas. « J’ai vécu un rapprochement avec les citoyens, car ils m’ont découvert dans toute mon intensité et mon dévouement envers eux à travers les situations précaires qu’ils vivaient. »
À la défense des intérêts des Bas-Laurentiens
Maxime Blanchette-Joncas ne manque pas d’arguments pour illustrer sa grande implication dans des dossiers touchant la région du Bas-Saint-Laurent. « La première année de ma carrière politique a véritablement été de tester mes capacités et compétences. J’estime avoir livré la marchandise », fait-il valoir.
Malgré la pandémie, il revendique de belles réalisations, notamment d’avoir convaincu Ottawa d’investir 3 M $ pour la rénovation et l’agrandissement du Théâtre du Bic, en plus des sommes consenties par Québec et Rimouski. De même, il a obtenu davantage d’argent des programmes Emploi d’été Canada et Nouveaux Horizons, avec respectivement près de 900 000 $ et 380 000 $.
Dirigé énergiquement par le chef, Yves-François Blanchet, le Bloc Québécois a fait élire 32 députés solides le 21 octobre 2019. De toute évidence, les Québécois ont voulu montrer aux libéraux de Justin Trudeau, qui accumulent les mauvaises notes en matière d’éthique, qu’ils refusaient de leur accorder un chèque en blanc.
Cette présence importante de défenseurs inconditionnels du Québec à Ottawa s’est clairement reflétée dans les choix politiques effectués au cours des derniers mois. « Avant même que la pandémie de coronavirus ne nous frappe, le Bloc Québécois s’est largement distingué des autres partis à la Chambre des Communes avec des propositions et des solutions constructives, toujours dans l’intérêt premier des Québécois », souligne M. Blanchette-Joncas.
« Symbole spectaculaire de cet esprit qui nous anime, en février dernier, nous avons rallié tous les partis en chambre, à part les libéraux, pour appuyer une motion faisant passer de 15 à 50 le nombre de semaines de prestations d’assurance-emploi en cas de maladie grave », rappelle-t-il.
Les mois qui viennent deviendront déterminants pour la suite des choses, renchérit-il. Alors qu’il prônait l’an dernier la collaboration nécessaire à la survie de son gouvernement minoritaire, Justin Trudeau s’est plutôt révélé centralisateur et dur d’oreille, tout comme son père l’avait été dans les années de son règne à Ottawa.
« Pire encore, alors qu’il fait la morale au Québec en s’ingérant dans ses compétences, notamment la santé, il délaisse ses propres responsabilités de première ligne, comme nous pouvons le voir aujourd’hui avec l’abandon du bureau mobile de Service Canada à Pohénégamook, au Témiscouata. Vous pouvez compter sur moi pour défendre notre région ! », termine Maxime Blanchette-Joncas.