La crise du logement, le sort des aînés et la 20 mobilisent les efforts du député LeBel
Le député de Rimouski à l’Assemblée nationale, Harold LeBel, signale dans son bilan des derniers mois qu’il continue de se faire un devoir d’agir comme porte-voix de ses concitoyens au parlement de Québec.
Monsieur LeBel rappelle avoir déposé une vingtaine de questions au feuilleton sur nombre de sujets de préoccupation dans sa circonscription : les conditions de vie dans les résidences privées pour aînés (RPA), l’inscription de l’autoroute 20 dans le Plan québécois des infrastructures (PQI), une évaluation plus équitable de l’état d’urgence sanitaire, de même que deux interventions portant directement sur les problèmes de logement.
« Comme le prescrit le règlement de l’Assemblée nationale, les ministres ont toutes et tous répondu à mes questions avec une clarté que je qualifierais de variable », rapporte le député de Rimouski.
« J’ai cependant obtenu une réponse nette qui m’a fait sourire : le 13 avril, le premier ministre François Legault m’a répondu personnellement en rappelant son engagement à ce que le prolongement de l’autoroute 20 de Trois-Pistoles à Rimouski revienne au PQI, avant l’échéance électorale », souligne monsieur LeBel.
Logement
« Je suis très préoccupé par la situation du logement, particulièrement à Rimouski. Le taux d’inoccupation atteint un plancher inquiétant. Ce n’est pas pour rien que j’ai interpellé le gouvernement deux fois là-dessus. C’est anormal de constater la rareté de logements, particulièrement ceux de plus de quatre pièces et demi, ce qui affecte les familles. Il nous faut aussi davantage de logements destinés aux gens à faible revenu. Je siège également au comité qui cherche des solutions aux gens qui peinent toujours à trouver un endroit où se loger pour le 1er juillet », indique Harold LeBel.
Défi relevé
« Les organisations et les citoyens concernés ont reçu les réponses aux points que j’ai soulevés, que toutes et tous peuvent retrouver sur mon site Web. J’analyse les relances possibles ou les demandes de précisions. Tout cela constitue une partie importante de mon travail de député, de servir d’intermédiaire entre l’État et les gens d’ici. Je considère avoir relevé ce défi depuis le début de mon mandat et ces questions au gouvernement allaient dans ce sens », conclut le député.