Un accusé en matière de stupéfiants revient en Cour ce jeudi
Kevin Lafrance, 37 ans, de Rivière-du-Loup sera de retour en Cour ce jeudi pour son enquête sur remise sur remise en liberté, lui qui a été arrêté vendredi dernier (3 décembre) lors d’une perquisition en matière de stupéfiants.
Les policiers de la Sûreté du Québec de différents postes de MRC de la région du KRTB, en collaboration avec les enquêteurs du service des enquêtes sur les crimes majeurs et d’un maitre-chien, dans un autre effort en matière de lutte au trafic de stupéfiants, ont effectué deux perquisitions simultanées dans des résidences de Rivière-du-Loup et de St-Épiphane, le 3 décembre dernier.
Dans un premier temps, les policiers ont procédé à l’arrestation de Kevin Lafrance au moment où ce dernier se déplaçait à bord de son véhicule. Une perquisition s’en ait suivi à son domicile situé sur le chemin des Raymond à Rivière-du-Loup où les policiers ont découvert un peu plus de 4 000 comprimés de méthamphétamine, une certaine quantité de champignon magique, de l’argent comptant ainsi que divers objets servant au trafic de stupéfiants qui ont été saisis, incluant le véhicule dans lequel il prenait place qui a aussi été saisi en tant que bien infractionnel.
Ce dernier a comparu le lendemain devant le tribunal afin de répondre à différents chefs d’accusation en matière de possession ou de trafic de stupéfiants ainsi que pour bris de probation. Suivant sa comparution, l’accusé est demeuré détenu en attendant la suite des procédures prévues ce jeudi 9 décembre.
Autre perquisition à Saint-Épiphane
Au même moment, une autre perquisition avait lieu sur la rue Bernier à Saint-Épiphane où cette fois les policiers ont découvert une petite quantité de méthamphétamine et de cigarettes de contrebande qui ont été saisies. « Le résident des lieux, un homme de 53 ans, a été arrêté par les policiers, mais il a été remis en liberté un peu plus tard en attendant son retour devant le tribunal. Ce dernier fait aussi face à différents chefs d’accusation en matière de possession ou de trafic de stupéfiants », rapporte le sergent de la SQ, Claude Doiron.