Le Journal lance sa chronique animale
C’est plutôt rare que je m’adresse aux lecteurs à la première personne et je n’ai pas l’intention d’en faire une habitude, mais ce coup-ci, je pense que c’est pertinent parce que j’ai l’occasion de vous présenter la nouveauté du Journal, la chronique animale.
Cela fait un moment que j’avais l’intention de la lancer, mais je me suis dit que ce serait une belle façon de souligner ma première année au Journal. « Nos amis les animaux », c’est donc une chronique hebdomadaire qui sera publiée dans le Journal, au même titre qu’un article, chaque samedi.
Les mêmes critères de rigueur journalistiques y seront appliqués. J’adore les animaux, mais ça ne veut pas dire pour autant que j’ai une expertise sur le sujet. « Nos amis les animaux » s’intéressera donc aux actualités en lien avec les animaux de la région, mais abordera des sujets plus précis, comme la micropuce ou l’obésité, en faisant appel à des gens qui s’y connaissent.
C’est un peu comme un rêve qui se réalise pour moi, puisque cette chronique me permet de combiner deux de mes plus grandes passions, les animaux et l’écriture, tout en les mettant au service du public.
Rester près des lecteurs
« Nos amis les animaux » pourra aussi mettre de l’avant des témoignages. Ainsi, si vous souhaitez partager l’histoire de vos animaux ou la façon dont ils ont changé votre vie, il sera possible de le faire en me contactant.
Ce sera aussi possible de suggérer des sujets, soit en commentant via la page Facebook du Journal Le Soir, ou encore en me contactant par courriel.
Il existe une multitude d’histoires et de sujets. Les possibilités sont donc énormes. Ce qu’il faut retenir, c’est que les animaux et leur bien-être devront être au cœur de ces possibilités, en tout temps.
Remerciements
Pour finir, je voudrais remercier toutes les personnes qui prendront le temps de suivre et de lire la chronique. J’espère que vous en appréciez la lecture autant que j’en aimerai la rédaction.
Je voudrais aussi remercier le rédacteur en chef du Journal, Pierre Michaud, qui est là pour moi depuis mes débuts au Journal. Ses conseils, son soutien et les nombreux apprentissages qu’il me partage depuis feront de cette chronique un succès, j’en suis certaine.
Merci également à l’éditeur du Journal, Olivier Therriault, qui a accepté cette chronique et qui l’a baptisé.
Et la dernière et non la moindre : Louise Ringuet, la directrice du développement des affaires du Journal qui m’a toujours soutenu dans ce projet et qui m’a laissé le temps et l’espace pour le concrétiser.