Un succès pour l’événement CommunEauTerre
Le nouveau collectif La Marée Citoyenne tenait son premier événement cet après-midi au parc de la Gare de Rimouski, dans le cadre de la journée de la Terre.
Entre 15 et 20 organismes étaient sur place pour aller à la rencontre des citoyens, qui eux aussi étaient au rendez-vous.
« L’idée de l’événement était de réunir les acteurs et les actrices de Rimouski-Neigette. On voulait des gens qui travaillent sur le territoire, qui voient l’impact des changements climatiques en temps réel. Toutefois, les changements climatiques ne se résument pas au climat qui change, il y a aussi un impact sur la justice sociale et on voulait mettre de l’avant ces aspects, tout en démontrant comment les impacts des changements climatiques sont larges », raconte l’une des membres du collectif, explique Andréanne Fortin.
Parmi les organismes présents, on dénote entre autres :
- CIBLES
- La Frip’Mobile
- Rimouski en transition
- Coopérative P.A.S.E
- La Débrouille
- Cedre
- L’outillerie
- Du logement
ouet des arbres
À propos du collectif
Le collectif est composé de cinq membres : Chloé Rancourt, Lauréanne Boudreau, Océanne Hamelin, Andréanne Fortin et Chanel Lapointe.
Il a pris forme cet hiver, justement dans le but d’organiser un événement pour la journée de la Terre.
« En fait, l’événement est né avant le collectif. Nous sommes cinq amies et nous avons décidé de souligner le jour de la Terre à Rimouski, puisque rien n’était prévu. Au fur et à mesure de nos rencontres, on s’est dit que ce serait bien d’avoir une identité. C’est de cette façon que La Marée Citoyenne est arrivée », explique Andréanne Fortin.
Pour la suite
L’événement d’aujourd’hui pourrait bien être le premier de plusieurs autres : ça reste encore à voir.
« On ne sait pas encore quelle forme le collectif va prendre, on s’est formé pour cet événement alors c’est possible qu’il y en ait d’autres, mais où, quand et quoi, on ne sait pas. Si nous avons opté pour le nom La Marée Citoyenne, je pense que c’est parce que nous sommes cinq femmes. On voulait donc avoir un nom au féminin, qui représentait le fait qu’on est un mouvement citoyen. Cet événement est organisé grâce à notre volonté ainsi que plusieurs heures de travail non rémunérées. »