Le St-Laurent au cœur du 24 h de science
À la découverte du Saint-Laurent, un événement de Réseau Québec maritime – RQM et de Ressources Aquatiques Québec se tenait samedi au Carrefour Rimouski dans le cadre du 24 heures de science de l’institution Science pour tous.
Le 24 heures de science, qui se tient à la grandeur du Québec, aura permis à plusieurs experts du milieu maritimes d’informer les citoyens sur une foule de sujets lors de leur passage au Carrefour.
« Notre objectif est de mettre en valeur les ressources du Saint-Laurent. De faire découvrir le Saint-Laurent aux personnes qui ont entendu parler de l’activité, mais aussi à celles qui passent dans le Carrefour. Comme partenaires nous avons Ressource Aquatique Québec, qui sont présents aujourd’hui. Ce sont des étudiants à la maîtrise et au doctorat. Nous avons aussi Québec Océan, des étudiants gradués de l’ISMER », expliquait samedi la coordonnatrice du Réseau Québec maritime, Geneviève Lalonde.
Plusieurs spécialistes du Saint-Laurent
Comme les ressources du Saint-Laurent ne sont pas moindres, ce sont de nombreuses personnes qui se sont mobilisées pour couvrir une vastitude de sujets.
« Il y a le Réseau d’observation de mammifères marins (ROMM), qui explique ce qu’est la science citoyenne et comment les gens peuvent déclarer leur observation des mammifères marins, parce qu’ils sont en train de monter une base de données. »
« Il y a l’équipe de Catherine Simard, qui est une chercheuse à l’Université du Québec à Rimouski, en sciences de l’éducation. Elle présente un projet financé par le Réseau Québec maritime : une trousse pédagogique pour les écoles de la région afin que les professeurs puissent être outillés pour enseigner les beautés de notre fleuve Saint-Laurent et surtout informer les jeunes pour qu’ils en préservent la biodiversité. »
Deux observatoires de recherches sur les mammifères marins et l’Institut maritime du Québec (IMQ) étaient aussi sur place.
Et plus encore
« Technoscience était présent aujourd’hui [samedi] pour le rassemblement scientifique. On tient deux concours scientifiques. Nous avons tenu la finale de l’Expo-science Hydro-Québec pour le volet primaire. Ça s’est terminé ce midi, il y avait six jeunes qui ont présenté des projets. Il y a aussi le défi apprenti génie où il est possible de construire des catapultes sur place et de faire des tests », rapportait pour sa part la coordonnatrice des communications chez Technoscience Est-du-Québec et chargée de diffusion pour le 24h de science Bas-Saint-Laurent, Mélanie Cantin.
« Pour le 24h de science, nous avions comme thématique cette année de faire de la science participative, pour montrer aux gens qu’il est possible de faire, facilement, de la science chez eux. »