À la recherche de solutions pour mieux aider les aînés
Les organisateurs du Colloque Bien vieillir dans Rimouski-Neigette, qui s’est déroulé en octobre dernier, sont à la recherche de nouvelles propositions pour mieux adapter les milieux de vie aux besoins des aînés.
« Ce colloque a tracé quelques pistes d’action pour mieux adapter nos communautés aux besoins des ainés. Une déclaration a été signée par plusieurs élus et intervenants s’engageant à agir en considérant des propositions et des constats lors du colloque. La pandémie a malheureusement ralenti la démarche concernant le suivi du colloque », explique le député de Rimouski à l’Assemblée nationale, Harold LeBel, dans une lettre aux participants et partenaires du colloque.
Relance
« Nous relançons présentement nos discussions afin de donner suite aux idées soulevées lors du colloque et à identifier des projets ou des interventions à réaliser. À cet égard, vos commentaires seront les bienvenus concernant différents thèmes tels que l’habitation, le transport, l’implication sociale, le maintien à domicile et les proches aidants ainsi que les besoins et services appropriés des aînés en CHSLD, en résidences, en HLM et autres », mentionne monsieur LeBel.
Les organisateurs précisent qu’ils ont l’ambition de créer un réseau regroupant des aînés de Rimouski-Neigette afin que leurs voix soient entendues auprès des élus et des organismes. Les intéressés sont invités à contacter le 418 722-6066 poste 103 ou par courriel [email protected].
Démarche importante
« Cette démarche est importante pour tous puisque ensemble, nous souhaitons prendre conscience de nos réalités, des problématiques vécues afin d’adapter des services et travailler sur des solutions pour notre ville et nos villages. C’est une démarche en faveur de la qualité de vie qui prend tout son sens aujourd’hui en ce temps de pandémie durement vécu par plusieurs aînés. Nous comptons sur leur implication pour aller de l’avant et ainsi pouvoir cibler les besoins réels des aînés dans toute la MRC de Rimouski-Neigette », conclut monsieur LeBel.