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Le rapport sur l’université québécoise du futur est déposé

La ministre Danielle McCann. (Photo Facebook)

La ministre de l’Enseignement supérieur, Danielle McCann, a confirmé vendredi le dépôt du document intitulé L’université québécoise du futur – Tendances, enjeux, pistes d’action et recommandations.

Le rapport sur l’université québécoise du futur donne suite aux quatre journées de consultation qui se sont tenues en novembre dernier, sous la présidence du scientifique en chef du Québec, Rémi Quirion.

« Je tiens à remercier tous les partenaires qui ont contribué à cette consultation au cours de la dernière année. Je veux aussi souligner le travail de Rémi Quirion, scientifique en chef du Québec, dont l’expertise et la rigueur ont guidé la rédaction de ce rapport fort attendu. Le mandat était vaste, mais il a relevé le défi sans compromis en livrant ce rapport complet et hautement pertinent. Notre chantier sur l’université du futur est d’une importance capitale. Ces recommandations nous aideront à donner un nouvel élan à notre réseau d’universités; le travail est déjà amorcé. Nos universités représentent un outil incontournable pour faire du Québec une société dynamique, prospère et innovante. Ce chantier fait certainement partie des outils pour y arriver », déclare la ministre McCann.

12 recommandations

Douze recommandations sont émises et couvrent un large spectre d’intérêts et de défis, allant, notamment, du financement à l’accessibilité, en passant par l’intégration du numérique ainsi que la liberté académique et la réussite universitaire.

Un comité-conseil, composé notamment de M. Quirion et de hauts fonctionnaires, sera présidé par Émilie Foster, adjointe parlementaire de la ministre, et assurera le suivi des recommandations.

« Le rapport de l’université québécoise du futur est le fruit d’un travail intense, alimenté d’une large consultation en ligne et de séances délibératives impliquant toutes les parties prenantes de l’institution universitaire québécoise, depuis les communautés universitaires jusqu’aux instances gouvernementales, en passant par la société civile. Ce rapport marque certes une étape, mais n’est pas une fin en soi. Il servira d’assises à l’élaboration d’un plan d’action concret à court, moyen et long terme afin que le milieu universitaire fasse davantage preuve d’agilité, d’innovation, et de capacité à se renouveler si on veut que l’université du futur réponde aux aspirations des générations futures. Les Fonds de recherche du Québec que je dirige seront parties prenantes des suites à donner à ce rapport », commente Rémi Quirion.

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