Pour un équilibre entre le développement économique et social

Alors que le vote par anticipation s’amorce ce samedi matin, la candidate dans le quartier Saint-Pie-X à Rimouski, Mélanie Bernier, demande aux électeurs de se questionner sur ce qu’ils veulent pour leur ville et pour leur district.

« En posant ma candidature au poste de conseillère municipale dans Saint-Pie-X, je propose une campagne, je propose un choix. J’habite le district, je prends donc l’engagement d’être près de vous, avec vous sur le terrain. Depuis le début de ma campagne, je répète que je fais le saut en politique municipale sur une base autonome. Je fais le saut en politique municipale, car je souhaite faire profiter le conseil municipal de mon expertise et de mes compétences. Je fais le saut en politique municipale pour être sur le terrain, pour vous consulter, pour porter des initiatives innovantes, qui ajoutent au développement économique de notre ville », mentionne Mélanie Bernier.

La candidate estime être capable d’écouter, de communiquer et d’influencer. « Je fais le saut en politique municipale parce que je suis prête et forte d’un long parcours de militantisme du droit collectif ».

Enjeux de plus en plus complexes

« Nous avons vu dans les dernières années, et ce dans toutes les sphères politiques, une évolution des enjeux de plus en plus complexes. Il y a des dossiers urgents. La crise climatique, le développement d’une économie à la fois sociale et locale, la proximité et l’accessibilité des services de santé et des services sociaux, la pénurie de main d’oeuvre et de logements. Nous remarquons aussi que les citoyens souhaitent plus de transparence et de consultation. Les citoyens souhaitent être considérés comme acteur politique pour faire de Rimouski une ville où il fait bon vivre », indique Mme Bernier.

Dans toutes ses rencontres sur le terrain des dernières semaines, la candidate rapporte que les gens souhaitent que le développement de la ville se fasse sur la base d’un équilibre entre le développement économique et social. « Les citoyens cherchent un équilibre entre des projets comme le COSTCO et des initiatives d’économie sociale inclusives », précise-t-elle.