Parcs nationaux : l’accès en ligne avant de partir !
« La SÉPAQ (Société des établissements de plein air du Québec) recommande fortement aux visiteurs de se procurer leur droits d’accès en ligne afin de se garantir une place et de faciliter l’accès à ses parcs nationaux, comme le Parc de la Chute-Montmorency et l’Aquarium du Québec. »
C’est l’avis qu’émet fortement le porte-parole de la SÉPQ, Simon Boivin, à l’heure où les vacances attirent actuellement des milliers d’amateurs de plein air dans les établissements de la SÉPAQ.
« La popularité des destinations touristiques et de plein air pendant la saison chaude est à son plus fort. La SÉPAQ continuera à respecter les capacités d’accueil des parcs nationaux en limitant le nombre de droits d’accès quotidien qui seront mis en vente chaque jour. Cette façon de faire permet de préserver à la fois les milieux naturels et la qualité de l’expérience pour les visiteurs et les employés », prévient Simon Boivin.
Conseils pour éviter bien des déceptions
Et de poursuivre le Responsable des relations avec les médias : « Pour être certain de pouvoir accéder à son établissement préféré et s’éviter la déception d’un déplacement inutile, mieux vaut se procurer en ligne son droit d’accès quotidien et son stationnement pour la plage au sepaq.com/reservation. L’achat à l’avance, autant pour les parcs nationaux, le Parc de la Chute-Montmorency et l’Aquarium du Québec, permet d’améliorer la fluidité de l’accès aux guérites en réduisant les délais causés par les transactions faites directement sur place ».
83% des Québécois sont prêts à payer pour un avenir plus sain !
Les Québécois sont passionnés par la qualité de leur environnement, et une récente étude démontre qu’ils sont déterminés à créer un avenir plus sain, notamment en faisant leur part pour protéger les précieux milieux humides.
En fait, selon cette étude de la Chaire de recherche du Canada en économie écologique de l’Université du Québec en Outaouais, 83 % des Québécois sont préoccupés par la disparition des milieux humides, et ils sont prêts à faire un don annuel moyen de près de 50 $ pour financer des activités de conservation. D’après cette étude, 3 304 répondants, soit 83 % des citoyens, se disent préoccupés par la perte des milieux humides, et 84 % sont d’avis que le gouvernement du Québec devrait en faire plus pour les protéger.