Le candidat Ouellet préoccupé par le logement

Le candidat péquiste dans le comté de Rimouski, Samuel Ouellet se dit extrêmement préoccupé par le contexte actuel de la crise du logement et s’engage à agir pour y remédier.

Monsieur Ouellet réagit notamment à la série de reportage consacrés par le Journal Le Soir à la question. Il fait valoir que depuis plusieurs mois, la pénurie de logements et la hausse abusive du prix des logements par certains propriétaires inquiètent la population rimouskoise et de nombreux acteurs engagés dans la défense des personnes à faible revenu, une situation que déplore ardemment le candidat du Parti Québécois.

« Avec un taux d’inoccupation de 0,02%, il est désormais difficile d’y trouver un logement abordable, une problématique qui s’ajoute à d’autres enjeux dans Rimouski-Neigette, notamment à celui de la pénurie des places en service de garde éducatif. Monsieur Ouellet estime que les conséquences de ces enjeux auront un impact sur l’économie et sur l’attractivité de la région à court terme », souligne un communiqué de l’équipe électorale du candidat.

Droit

« Le droit à se loger décemment et à un prix accessible est un besoin de base, il faut pouvoir le garantir aux gens qui ont besoin de cette aide. Dans Rimouski-Neigette, 10% de la population vit en situation de pauvreté et il est essentiel que ces gens se sentent soutenus par leurs élus », ajoute-t-on.

Appui

« J’appuie Michel Dubé, d’Action Populaire, dans sa récente sortie sur la crise du logement et les prix de loyers qui sont aberrants. Il y a urgence d’agir en ce moment. J’entends bien mettre tout en œuvre pour trouver des solutions concrètes, en collaboration avec le Comité logement, Action Populaire, les différents paliers gouvernementaux, le milieu communautaire et tous les acteurs qui voudront contribuer aux solutions pour résorber la situation. »

« Ces gens doivent être entendus, il faut rapidement mettre en place des actions réelles pour pallier la pénurie de logements et freiner la hausse abusive des prix par certains propriétaires, dont les plus vulnérables font les frais ces temps-ci », affirme monsieur Ouellet.