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Nouvelle de 17 h

[En vidéo] La décontamination n’est pas terminée

Le terrain, aujourd’hui, sur l’heure du midi (Photo: journallesoir.ca, Pierre Michaud)
À noter que les portes du chantier étaient ouvertes lors de notre visite mais on été fermées lors du départ des employés. (Vidéo: journallesoir.ca, Pierre Michaud)

Les travaux de décontamination du site de l’ancien dépanneur libre-service Irving qui était situé au 430 boulevard Saint-Germain à Rimouski se poursuivent.

Le Journal Le Soir s’est rendu sur les lieux ce midi pour tenter de répondre aux questions de certains lecteurs. En allant à la rencontre d’employés de la firme Excavation Léon Chouinard – soit la firme qui s’occupe des travaux – ces derniers nous ont confirmé qu’il s’agit bien de travaux de décontamination. Rappelons que ces travaux sont en cours depuis le mois de juin 2022.

Le terrain sous un autre angle (Photo: journallesoir.ca, Pierre Michaud)

Conduite

D’autre part, les employés d’Excavation Léon Chouinard rencontrés sur les lieux ont un message à l’intention des automobilistes. Étant donné la vue qu’ils ont sur le boulevard, ils constatent que la conduite de plusieurs conducteurs est dangereuse.

Pas encore de projet à l’horizon

Pour l’instant, il ne semble pas y avoir de projet arrêté pour ce site.

 Nous avons tenté de joindre la direction d’Excavation Léon Chouinard pour plus de détails, mais l’entreprise est fermée à compter de midi  pour la fin de semaine.

Un administrateur au volet jeunesse de la Chambre de commerce de Rimouski, Patrice Poliquin, explique pour sa part que les attentes de la Chambre sont simples : que quelque chose y soit construit.

On a découvert toutes sortes de choses dans le sol. (Photo: Journallesoir.ca, Pierre Michaud)

« Que ce soit le terrain à Nazareth ou encore celui de la deuxième rue (où il y avait aussi un poste d’essence), la Chambre n’a pas de parti pris ou de demande particulière à savoir quel type de commerce devrait y être implanté. Les dépanneurs ont été démolis. Maintenant on veut simplement que les terrains ne soient pas laissés à l’abandon pendant des années. Il va falloir qu’il s’y passe quelque chose. »

D’autant plus que les deux terrains sont assez bien situés, ce qui leur confère une bonne valeur et assure un certain intérêt, estime monsieur Poliquin.

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