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Élisabeth cherche son âme sœur

En se tournant vers L’amour est dans le pré
Élisabeth Asselin et sa jument Blondie (Photo: Journallesoir.ca, Véronique Bossé)

Élisabeth Asselin, 24 ans, vit à Saint-Gabriel-de-Rimouski et s’est inscrite à la populaire émission de téléréalité : L’amour est dans le pré, dans l’espoir d’y trouver une personne avec qui partager sa vie bien occupée sur sa ferme.

Bien qu’elle ne puisse pas encore dévoiler les détails de son aventure, elle a accepté de faire une entrevue avec le Journal pour discuter de ce qui l’a poussé à se lancer et de comment elle conçoit le tout.

Une passionnée qui travaille beaucoup

Comme plusieurs autres candidats de L’amour est dans le pré, Élisabeth passe le plus clair de son temps chez elle, à travailler à sa ferme.

La ferme d’Élisabeth (photo courtoisie)

« Ça faisait quelques années que ma famille, mes amies et moi ont blaguaient sur le sujet. On travaille beaucoup, on est tout le temps ici alors on ne sort pas nécessairement de l’environnement de la ferme. Alors on se niaisait un peu avec ça et mes amies me disaient que si je ne m’inscrivais pas, elles le feraient à ma place », explique Élisabeth.

Un mode de vie actif

Installée sur sa ferme depuis 2017, l’entreprise familiale fait l’élevage de bovins de boucherie, a trois chèvres de compagnie et élève des chevaux, en plus de les entrainer et de donner des cours d’équitation.

« Il y a tout le temps du monde et c’est ce que j’aime aussi. Le fait d’avoir des pensionnaires et de donner des cours, ça fait en sorte qu’il y a toujours des gens. On fait notre propre mise en marché aussi, alors quand les gens viennent prendre des cours, ils voient les animaux dehors, ils posent des questions sur la viande. Souvent ça fait du bouche-à-oreille et les gens viennent acheter. La COVID-19 a eu cet effet, les gens aiment acheter local et voir comment les animaux sont traités. Comme la place est ouverte, ils peuvent venir voir comment ça fonctionne. »

Les prétendants

Pour ceux qui sont moins au fait du concept de l’émission, les agriculteurs commencent par s’inscrire en mai et juin. Ensuite, les prétendants et les prétendantes ont leur propre période d’inscriptions. Par la suite, le tournage débute à la fin de l’été.

« Ils peuvent être de partout, autant d’ici que d’ailleurs. L’important est qu’ils n’aient pas de ferme ou qu’ils ne souhaitent pas reprendre l’entreprise familiale. Le but est que l’agriculteur de bouge pas de chez-lui. »

Vouloir s’intégrer

Outre certains critères assez évidents, vu le concept de l’émission, Élisabeth avait ciblé d’autres points importants dans sa quête.

« Mon critère numéro un était que la personne soit prête à se déplacer. Elle doit être consciente d’à quel point je suis loin. Aussi, je voulais trouver une personne qui serait prête à s’intégrer dans le mode de vie pour de vrai, pas seulement en étant là, de surface. On est des gens qui sont super occupé et on est passionné par ce qu’on fait, mais on n’est pas souvent disponible alors il faut vouloir s’intégrer là-dedans. »

Une aventure à suivre

Il sera possible de suivre le parcours de la jeune femme dans cette aventure dès janvier, lors du début de la onzième saison de l’émission. Il sera possible d’y apercevoir la ferme, mais aussi de suivre Élisabeth lors de son passage dans les villes des prétendants.

« J’ai vraiment aimé mon expérience. L’équipe de production est super gentille, le concept est unique. Il est vraiment axé sur la réussite du processus. Tu ne sais pas vraiment à quoi t’attendre. Tu le sais un peu, parce que le principe est le même d’année en année, mais tant que tu n’as pas les pieds dedans, tu ne peux pas vraiment comprendre comment ça fonctionne. »

Il reste d’ailleurs quelques scènes à tourner.

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