L’archevêque dévoilera bientôt sa vision

Tel qu’anticipé la semaine dernière dans notre reportage sur la restauration et la future vocation de la cathédrale de Rimouski, l’Archevêché de Rimouski a répondu à notre demande de précisions dans les dernières heures.

C’est le délégué épiscopal à l’administration de l’Archevêché, Dyno Périgny, qui a répondu au Journal Le Soir, à la suite d’un message adressé à l’archevêque Denis Grondin par l’auteur de ces lignes. Il en ressort que ce n’est qu’une question de semaines avant qu’on en sache davantage.

Une firme évalue la faisabilité

« L’Archevêché de Rimouski a mandaté une firme de consultants afin de réaliser une étude de faisabilité dans le cadre du projet de restauration et de mise en valeur de la cathédrale Saint-Germain de Rimouski », explique monsieur Périgny.

« L’objectif de cette étude est de déterminer est de recueillir des informations auprès de diverses parties prenantes clés et ainsi mesurer les possibilités de succès du projet, en tenant compte de l’environnement de marché, des exigences opérationnelles et des projections financières réalisées », ajoute-t-il.

Au printemps

Le printemps est dans un mois et c’est au printemps que l’archevêque entend en dévoiler davantage sur ses intentions.

« La firme complète actuellement la rédaction du document final.  Nous prévoyons être en mesure de communiquer les résultats de celle-ci au printemps. Dès lors monseigneur Grondin accordera des entrevues afin de communiquer sa vision de la cathédrale », précise monsieur Périgny.

Le financement

La semaine dernière, différents intervenants se disaient d’accord sur le fait que l’Archevêché devra contribuer au financement des travaux de restauration de manière significative. L’un d’entre eux avançait le chiffre de 2,5 M$.

La cathédrale a été fermée pendant huit ans en raison d’un délabrement qui s’avère moins important que prévu.