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Du ketchup au rhum fabriqué à Padoue !

Un tout nouveau produit lancé en collaboration avec la Distillerie de La Mitis
Guillaume Paradis, propriétaire de la Mine de Ketchup de Padoue. (Photo journallesoir.ca- Louise Ringuet)

Guillaume Paradis présente son tout nouveau ketchup au rhum, cuisiné en collaboration avec la Distillerie de La Mitis. Un succès depuis son dévoilement, il y a quelques semaines. La Mine de Ketchup de Padoue est en expansion!

Ce nouveau produit provient du désir d’offrir un ketchup qui n’existe pas ailleurs et de cuisiner en compagnie d’une entreprise locale dont le rhum s’agence avec les saveurs du ketchup original. C’est à la Distillerie de La Mitis que Guillaume a arrêté son choix.

« Le ketchup est fumé au rhum. En fait, le fumé origine des oignons qui sont fumés pendant toute une nuit. Le rhum de la distillerie est ensuite ajouté aux épices secrètes québécoises et locales, cueillies en forêt. C’est la combinaison parfaite pour un ketchup hors du commun et décadent » explique monsieur Paradis.

Le ketchup fumé au rhum (Photo journallesoir.ca-Louise Ringuet)

Dans chacun des produits, il y a toujours un clin d’oeil fait à La Mitis et à la Gaspésie, que ce soit dans les herbes salées, la comptonie voyageuse ou le rhum de la Distillerie de La Mitis. La sauce à pizza est également une nouveauté qui s’ajoute à la salsa, au ketchup et au ketchup épicé.

Déjà dans les restaurants

Plusieurs personnes ont mentionnés à Guillaume, lors du Marché public de Rimouski, avoir découvert son ketchup au Bistro de la Forge et à la Maison du Spaghetti.

« En effet, Tommy Cloutier, propriétaire de ces deux restaurants, a été le premier à croire en mon produit et à l’offrir sur les tables du resto. Je le remercie de sa confiance depuis le tout début. Maintenant, une dizaine de restaurants l’offrent et les produits sont disponibles dans plusieurs points de dépôt », mentionne avec fierté Guillaume Paradis.

Une légende ressuscitée

On produisait effectivement du ketchup à Padoue, en s’inspirant d’une légende locale qui remonte au début du 20e siècle. 

« À force de travailler dans une mine d’ocre rouge qui s’avérait un moteur économique local important, les mineurs étaient toujours tachés de rouge. De là est partie une légende disant que ces mineurs travaillaient dans une mine de ketchup », indiquait monsieur Paradis au Journal Le Soir en octobre 2021.

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