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Béatrice Choinière-Lambert portera le drapeau de l’Est-du-Québec

Cérémonie d’ouverture de la 57e Finale des Jeux du Québec à Rimouski
Béatrice Choinière-Lambert, porte-drapeau de l’Est-du-Québec (Photo : mission Est-du-Québec)

Le Rimouskoise Béatrice Choinière-Lambert, athlète en athlétisme, a été choisie pour porter le drapeau de l’Est-du-Québec lors de l’entrée officielle de la délégation ce soir (vendredi) au Colisée Financière Sun Life. 

La chef de délégation, Josée Longchamps, a annoncé la nouvelle lors de la rencontre réunissant les représentants de la région en fin d’après-midi. 

« Je suis quand même surprise. L’an passé, les porte-drapeaux participaient aux deux blocs et moi, je participe à des épreuves d’athlétisme qui sont seulement au premier bloc », a mentionné Béatrice immédiatement après l’annonce. 

L’athlète de 17 ans en est à sa deuxième participation aux Jeux du Québec. Elle a remporté deux médailles de bronze à l’été 2022 à Laval, montant sur la troisième marche du podium au 3 000 mètres, et avec ses coéquipières au relais 4 x 400 mètres.

« Quand je suis sortie des Jeux à Laval l’an passé, je savais que je voulais être à ceux de Rimouski, donc je me suis entraînée très fort pour y participer. » 

Espoir de médailles à nouveau

Béatrice Choinière-Lambert en compagnie de son entraineur, Samuel Lavoie (Photo : mission Est-du-Québec)

Lors des récents Championnats québécois, elle est montée sur la première marche du podium à deux reprises, soit au 3 000 mètres et au 1 500 mètres. À Rimouski, Béatrice pourrait accéder au podium à trois reprises, aux épreuves de 1 500 mètres, 3 000 mètres et 2 000 mètres steeple. 

« J’espère me dépasser, premièrement. La position ne me dérange vraiment pas. Tout ce qui compte pour moi, c’est faire de meilleurs temps, encore et encore, et j’ai même en tête de battre le record des Jeux d’Émilie Mondor », a dit Béatrice qui se démarque par son comportement exemplaire. 

La Finale 2023 sera particulière pour Béatrice, étant donné qu’elle la vivra dans sa ville. « Je suis vraiment contente, car mes proches vont pouvoir venir me voir courir. Quand les compétitions sont plus loin comme à Laval, ils ne peuvent pas toujours », souligne-t-elle.

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