Toute une communauté en deuil du décès de Bryan Fournier
Marques de sympathie et messages de réconfort envers la famille et les prochesC’est toute la communauté de Saint-Fabien, ainsi que celle du hockey mineur des Basques, qui est en deuil à la suite de la confirmation du décès du jeune Bryan Fournier, 18 ans, lundi, à la suite d’un accident de la route survenu le 7 septembre sur la route 132 au Bic.
Les marques de sympathie et les messages de réconfort à la famille et aux proches du jeune homme affluent sur les réseaux sociaux. Bryan était aimé de tout le monde. Tous parlent de sa gentillesse et de son désir d’aider les autres.
« Tu étais un garçon tellement gentil, une personne formidable qui prenait soin de tout le monde et qui était toujours là pour aider ». « Si jeune, gentil et talentueux. Bon voyage! Veilles sur tes proches, ils en auront grandement besoin ». « Ton départ précipité nous laisse tous un grand vide, mais sache que jamais nous ne pourrons t’oublier ».
« C’est fou comme la vie est injuste. Repose en paix Bryan. Tu vas nous manquer mon chum on garde de bons souvenirs de toi ».
Une vague d’amour
Dès le lendemain de l’accident, une grande vague de soutien et d’amour a déferlé sur la famille et les proches de Bryan Fournier, qui se battait pour sa vie. Julie Bélanger et Brigitte Reid ont lancé la campagne « Aidons la famille de Bryan » sur le site de dons en ligne Go Found Me.
L’Association de hockey mineur des Basques est touchée par cette tragédie impliquant trois joueurs du 33 des Basques : Bryan Fournier, son jeune frère Zachary et Gabriel Michaud.
Des producteurs agricoles et des adeptes de motos de Saint-Fabien ont voulu envoyer des ondes positives à Bryan Fournier pour qu’il reste fort en klaxonnant lors de rassemblements.
Une note personnelle
La mort d’un jeune de 18 ans est toujours très triste, surtout lorsqu’elle survient de manière accidentelle. Étant natif de Saint-Eugène-de-Ladrière, je connais la famille et plusieurs proches de Bryan.
Je ne peux même pas imaginer la douleur qu’ils doivent vivre. Comme tout le monde, je voudrais faire quelque chose, mais je me sens impuissant. J’offre mes plus sincères sympathies à la famille, aux proches et amis, qui sont pour plusieurs des amis.