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Océanic : 68 arbres plantés près du Colisée Financière Sun Life

Le trio de partenaires revient à la charge trois ans plus tard
Anthony D’Amours, ancien joueur humanitaire de l’Océanic, Mélanie Beaulieu, directrice générale d’Auto BSL et Jacob Mathieu, capitaine et joueur humanitaire de l’Océanic. (Photo courtoisie)

L’Océanic, en collaboration avec Auto BSL et la Ville de Rimouski, se sont entendus pour remettre sur pied le projet d’enracinement tout près du Colisée Financière Sun Life.

En mai 2024, ce sont 68 nouveaux arbres qui seront ajoutés au décor naturel bordant le Colisée Financière Sun Life.

Après une première expérience au printemps 2021 avec « Un but, un arbre! », le trio de partenaires revient à la charge trois ans plus tard.

Cette fois, chacune des parties disputées par le club de hockey junior lors de la campagne actuelle représente un nouveau conifère qui prendra place dans l’environnement du domicile de l’Océanic.

Les différentes espèces d’arbres plantées au printemps prochain sont un mélange d’épinettes blanches, de mélèzes américains et d’Europe, de sorbiers d’Amérique, de lilas communs, de sureaux du Canada et de pins gris.

Trace environnementale

« Lorsque ce projet a vu le jour en 2021, je venais tout juste de disputer ma toute première saison dans le circuit. Je trouvais que l’idée était extraordinaire et que ça voulait dire beaucoup de voir une équipe de hockey junior comme l’Océanic laisser une trace environnementale comme celle-là dans la communauté. Aujourd’hui, je suis fier de parrainer ce projet qui a été initié par mon ancien coéquipier Anthony D’Amours », précise le joueur humanitaire et capitaine de l’Océanic, Jacob Mathieu.

Le capitaine de l’Océanic, Jacob Mathieu (Photo courtoisie Iften Redjah/Folio Photo)

La plantation des 68 arbres aura lieu quelque part à la mi-mai 2024, lorsque la température le permettra.

« Nous étions de la partie en 2021 et c’était impensable de ne pas être de retour à nouveau pour la deuxième édition de cette belle initiative environnementale. Lorsqu’on y pense, ce type de projet profite à toute la communauté et permet de s’inscrire à notre façon dans le livre des actions positives pour notre planète », estime la directrice générale d’Auto BSL, Mélanie Beaulieu.

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