Deux « bulles » octroyées à l’Océanic
La LHJMQ annonce la localisation de ses environnements protégésLa LHJMQ a confirmé lundi après-midi que la reprise de ses activités en janvier se fera à l’intérieur d’environnements protégés pour ses formations du Québec.
Des sept équipes qui avaient déposé leur candidature, quatre ont été retenues. Trois d’entre elles présenteront deux événements.
Il y aura d’abord quatre bulles de trois équipes lors de la fin de semaine du 22 au 24 janvier à Rimouski, Drummondville, Chicoutimi et Shawinigan. À chaque endroit, les trois clubs présents joueront deux parties.
Puis, du 29 janvier au 6 février, il y aura trois bulles où quatre équipes disputeront alors six parties chacune. Ces environnements protégés se tiendront à Rimouski, Drummondville et Chicoutimi.
La LHJMQ fera connaitre au début de janvier de quelle façon elle va partager ses 12 équipes du Québec entre chacun des événements.
« Cette annonce survient après un dialogue constructif avec les officiers de la Santé publique du Québec et après un bilan positif de notre premier événement protégé qui s’est tenu à Québec il y a quelques semaines », a souligné le Commissaire de la LHJMQ, Gilles Courteau. « La priorité de la ligue demeure de permettre à nos athlètes de se développer sur la patinoire et sur les bancs d’école dans l’environnement le plus sécuritaire possible. Ce type d’événements est, pour l’instant, devenu la meilleure solution pour atteindre ces objectifs. »
Du côté de l’Océanic, la nouvelle a été accueillie très positivement.
« On est très heureux d’avoir été sélectionné pour présenter deux environnements protégés avec nos partenaires. On a travaillé très fort pour présenter un dossier très rigoureux auprès de la ligue. On se sent très choyé qu’elle nous fasse confiance », explique le directeur des ventes de l’Océanic, Jean-Philippe Bérubé ajoutant qu’il ne faut pas négliger l’importance des retombées économiques pour la région.
L’Océanic avait fait une demande concernant la bulle d’une semaine au début de février. « Dans les faits, on avait levé la main pour recevoir toutes sortes de bulles. Mais, si on avait eu le choix, on aurait préféré la plus grosse. La ligue a possiblement considéré que c’était plus simple de conserver les mêmes endroits pour ces deux types de bulles », poursuit M. Bérubé.
Tout un protocole sanitaire va entourer la présentation des matchs et des entrainements lors de ces événements, et ce, en accord avec la santé publique.
Pour les équipes des Maritimes, la situation sera réévaluée après les vacances de Noël, mais l’intention du circuit est de revenir au jeu avec son calendrier régulier dès le 21 janvier.