De l’espérance à la joie

Nous ne célébrerons pas le huitième anniversaire de la fermeture de la cathédrale le 28 novembre prochain.

Grâce à la persévérance, à la détermination, à l’engagement et à la bonne volonté des principaux acteurs de la désormais célèbre saga de la cathédrale, notre joyau patrimonial est rouvert depuis plusieurs mois.

Des célébrations religieuses et des concerts, dont celui de dimanche 30 octobre où des musiciens professionnels ou étudiants, instrumentistes ou excellant dans l’art lyrique nous régalant à satiété, en témoignent.

Dans mon premier article, portant sur le sort de la cathédrale, daté du 7 août 2016, s’intitulant : « La cathédrale, de la joie à l’inquiétude », j’appelais de tous mes vœux une intervention rapide pour la réouverture du temple patrimonial conformément au désir de la majorité de la population.

Un souhait réalisé

Malgré toute la turbulence qui provoqua bien des remous et des vagues, mon souhait est réalisé. J’en suis très heureux et je remercie tous ceux qui y ont positivement œuvré.

Malgré cette réouverture tant attendue, il reste beaucoup de pain sur la planche aux acteurs actuels œuvrant à la finalisation des travaux. Je ne doute pas que notre nouvelle représentante à l’Assemblée nationale interviendra avec vigilance auprès du ministre de la Culture pour qu’il accorde une généreuse subvention en soutien aux efforts de la Fabrique, de l’Évêché, du Regroupement pour la sauvegarde de la cathédrale, de la Ville de Rimouski et des Amis de la Cathédrale.

C’est avec un grand intérêt, rempli d’espérance, que je suivrai la suite des choses.

Gilles Le Chasseur,

Rimouski, 31 octobre 2022