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« Le temps d’un été » : déjà plus de 760 000 $ au box-office

L'oeuvre réalisée par Louise Archambault demeure très populaire à Rimouski
Élise Guilbault et Patrice Robitaille font partie de la distribution du film « Le temps d’un été ». (Photo courtoisie)

Malgré l’arrivée de mégaproductions comme « Barbie » et « Oppenheimer », le long-métrage « Le temps d’un été », tourné en grande partie à Sainte-Luce, a connu une 2e fin de semaine à l’affiche aussi bon que la première

Avec près de 250 000$ au box-office le week-end dernier, ce qui en a fait le meilleur démarrage de l’année pour un film québécois, « Le temps d’un été » continue d’attirer les foules partout au Québec. Le film cumule maintenant des recettes de 764 282$.

L’oeuvre réalisée par Louise Archambault demeure aussi très populaire à Rimouski, où elle remplit le Cinéma Lido depuis sa sortie.

« Nous sommes très heureux de constater que le public continue de venir en grand nombre voir « Le temps d’un été ». Il est très rare de voir un deuxième weekend aussi fort que le premier. C’est le signe d’un bouche-à-oreille extrêmement positif autour du film. C’est très excitant de voir que même lorsque des gros blockbusters américains cartonnent au box-office, il y a de la place pour le cinéma québécois », commente Patrick Roy, président d’Immina Films.

Propriété dans le Bas-du-Fleuve

La comédie dramatique met en vedette Patrice Robitaille, Élise Guilbault, Gilbert Sicotte, Sébastien Ricard et Guy Nadon.

Le film « Le temps d’un été », tourné en grande partie à Sainte-Luce l’été dernier, sortira en salles partout au Québec ce vendredi 14 juillet. (Photo courtoisie)

Depuis plus de 25 ans, Marc Côté, aumônier de rue et curé de paroisse, vit avec les pauvres et les itinérants.

Aujourd’hui, Marc est un homme usé. Épuisé de tenir à bout de bras son église qui sert de refuge, stressé par les comptes qu’il n’arrive plus à payer, Marc doit se rendre à l’évidence : il devra fermer son église.

Comme un appel de la Providence, il hérite d’une propriété dans le Bas-du-Fleuve et décide d’y emmener avec lui une bande de sans-abri qui, tout comme lui, ont besoin de vacances.

Un décor exceptionnel

Le comédien Sébastien Ricard est très heureux d’avoir pu tourner à Sainte-Luce.

Le député de Matapédia-Matane, Pascal Bérubé, la scénariste Marie Vien, le comédien Sébastien Ricard, la mairesse de Sainte-Luce, Micheline Barriault, la réalisatrice Louise Archambault, le distributeur du film, Patrick Roy et la producteur Antonello Cozzolino. (Photo Alexandre D’Astous)

« Nous avons tourné dans un cadre exceptionnel. C’est un des plus beaux décors dans lequel j’ai tourné. Je connaissais déjà le coin comme touriste, mais ce fut différent d’y travailler avec les gens du coin qui ajoutent une touche fort intéressante au film », commente celui qui interprète le rôle de Frank Riendeau, l’intendant de la propriété dont vient d’hériter le curé Marc Côté.

« Il ne veut rien savoir et il fera tout pour que les arrivants soient mal accueillis en tentant de manipuler les gens », précise le comédien membre de la formation Loco Locas.

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