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Le Théâtre du Bic poursuit ses activités en octobre

Mohsen El Gharbi (Photo: courtoisie-Morillo Photography )

Le Théâtre du Bic et la compagnie de production Les gens d’en bas confirment les événements de leur programmation du mois d’octobre, élaborée malgré les contraintes de la crise sanitaire.

En raison des circonstances exceptionnelles, le nombre de spectacles présentés a été considérablement réduit, mais les deux entités tenaient à ce que le Théâtre du Bic vibre à quelques reprises malgré tout. D’autres belles surprises sont à venir pour novembre et décembre.

« Nous suivons bien entendu l’évolution de toutes les recommandations gouvernementales et nous appliquons rigoureusement les mesures sanitaires afin d’offrir un environnement le plus sécuritaire possible », indique un communiqué.

« Le Parc en ciel »

Le spectacle « Le Parc en ciel », les 16 et 17 octobre, à 19 h et 16 h,  sera présenté dans le cadre d’un projet de théâtre parascolaire réalisé en 2019-2020 avec des élèves de secondaire 1 et 2 de l’École Mont-Saint-Louis.

En voici le résumé : « Un parc dans une petite ville tranquille. Un banc, un buisson. Deux bandits qui ont volé la banque cachent leur magot sous le buisson. Bella Beauty, une vedette de film d’horreur, fait la promotion de son dernier film. Sa fille Rose est kidnappée. La télé potine. La police piétine. Deux ados qui font une expérience scientifique trouvent le magot tout en ouvrant un corridor psycho-temporel qui fait apparaître un mystérieux personnage du futur. Et la petite Marguerite cherche à attraper un arc-en-ciel. »

Une comédie folle sur l’argent qui rend fou, le courage des ados et la puissance de l’émerveillement. Les producteurs remercient les partenaires, le ministère de la Culture et des Communications, le Club Richelieu de Rimouski-Est et Paraloeil.

« Omi Mouna »

Inspirée de faits vécus, « Omi Mouna » est une pièce tragi-comique que le comédien Mohsen El Gharbi improvise chaque soir. Elle sera présentée le 22 octobre.

« Un homme enquête sur la source de la violence subie dans son enfance. Dominé par la peur d’avoir hérité de la brutalité de son père, il part en Tunisie filmer son arrière-grand-mère Omi Mouna pour retracer l’histoire de sa famille. Mais voilà que, comme par magie, il se retrouve projeté à l’époque où elle était une jeune fille, tyrannisée par son mari. Il devient alors le spectateur invisible, témoin d’événements dramatiques. »

S’inspirant de fragments de souvenirs qu’on a bien voulu lui raconter, Mohsen recolle les morceaux pour reconstituer les événements marquants de la vie d’Omi Mouna. Jouant une multitude de personnages, il nous plonge dans un monde fantastique et cocasse, mais qui peut aussi faire mal.

Une fresque poétique sur l’extraordinaire capacité de résilience de l’être humain.
 

 « Peau d’vache »

Notons enfin que « Peau d’vache » et autres récits du mythique cinquième rang de Padoue » de Stéphanie Pelletier, la nouvelle création du Théâtre les gens d’en bas, qui allie le théâtre et le numérique, se poursuit jusqu’au 3 octobre.

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