Plusieurs observations et récoltes témoignent de la présence de gros « bucks » à Anticosti
La chasse sportive de l’orignal, comme celle du cerf, comporte sa part de chance, surtout dans les territoires où l’amateur n’a pas la possibilité de travailler son territoire, de faire des salines ou des sites d’appâtage.
C’est le cas sur l’Île d’Anticosti, où le chasseur découvre son territoire de chasse en y mettant les pieds très souvent pour la première fois. C’est là que la chance doit jouer en sa faveur. Ce qui n’enlève en rien ses qualités de bon chasseur. C’est ça la chasse et quelle que soit l’expérience du chasseur, il a aussi la chance de prélever un « buck » trophée.
Et récemment, sur l’île d’Anticosti, Jonathan Pelland, de Kiamika, près de Mont-Laurier, dans la région des Laurentides, a vécu l’aventure de récolter un cerf d’une vie au panache exceptionnel.
Sa chasse
En entrevue cette semaine à « Rendez-Vous Nature », Jonathan Pelland raconte sa chasse exceptionnelle, dont le séjour se déroulait au Lac Huard, de SÉPAQ-Anticosti. Jonathan relate comment s’est passé la quête de cerf magistral, comment il l’a aperçu et comment il a réagi quand il a vu l’imposant panache qui coiffait ce chevreuil que personne n’avait jamais observé auparavant. Et dire qu’au premier coup de feu de sa carabine 30-06, la balle n’est pas partie…
Pourvoirie du lac Geneviève
Autre preuve qu’il se récolte de gros « bucks » cerfs sur l’île d’Anticosti. Jocelyn Vachon, propriétaire de la pourvoirie Mijocama, au lac Giles, en Outaouais, dans la région de Gracefield, nous en fournit une autre preuve avec ce magnifique « huit pointes » récolté récemment dans le territoire de la Pourvoirie du Lac Geneviève.
Et non seulement la population de cerf est sur une remontée évidente, sur l’Ile d’Anticosti, à tout le moins du jamais vu depuis au moins une dizaine d’années, dans différents secteurs de chasse de l’île, on rapporte des observations de mâles imposants, aux panaches trophées.